chapitre 3

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Ravello :

11h : 25m

Pov :???

-Alors comment va tu t'y prendre pour calmer ces racailles?...me demanda prudemment Ricardo,qui est mon bras droit.

Complètement avachi sur mon bureau,je me craque une peu la nuque pour calmer la tension qui m'anime chose qui est impossible avec ces rats qui se permet de niquer mes règles .

-moi: Faisons sauter tout leur repaire au coucher du soleil,je ne voudrais même pas qu'une mouche y survive, je les veux tous crevés j'ai dit.

C'est bien cruel mais rayé des merdes comme de leur genre sur la carte sera bénéfique pour tout le monde.

Je tourne la tête vers Ricardo et je vois qu'il est plutôt satisfait sur leur sort,
Ce goujat avait assez patienter pour s'occuper de ces figlio Di puttana on dirait.

-Ricardo: c'est pas pour rien qu'on te surnom el Nero mon ami, se réjouit -il, je vais préparer les matos ont va bien tailler ces merda.

Sur ce il sort de mon bureau,me laissant seule sur mes pensées. Je suis extrêmement tendu dans ces périodes du fait que la date de la fameuse nuit vas revenir dans quelques jours.

Avec mon humeur grandissant sa sera l'occasion idéale pour bien me défouler sur ces trous de cul qui se permet de pisser sur mon territoire juste parce qu'ils ont une goutte de sperme dans leur bourse ,je vais bien les démonter ces chiens.

Pour me calmer,je regarde le portrait accroché devant moi, qui m'infligue que douleur et malheur mais parviens toujours à m'apaiser.

C'est paradoxal non?

N'ayant plus goût à la vie je m'accroche à la douleur,eh oui seul la souffrance me maintient à la frontière de la folie.

En y pensant , autrefois seule elle pouvait faire naître des multitudes de sentiments, dans un âme aussi amoché que le mien.

Oh Mia stella qu'est ce que t'ai entrain de faire maintenant sans moi à tes côtés .

Arracher brutalement de la seule source de bonheur que j'avais, plus vide que le néant lui même je me réfugie vers la solitude et me nourrir de la soif du sang.

puisque c'est la seule chose dont cet connard de monde pourrait me faire ressentir.

Je sors brusquement de mes songes, quand la porte s'ouvre sur Bianca en petite tenue me fessant grogner plus que tous.

-moi : sort de mon bureau, lançais -je calmement.

-Bianca: ohh sayouu tu pourrais beaucoup plus te montrer sympa tu sais,...me miaule t'elle comme un chat .

Sa seule présence a réussi à augmenter d'une flèche mon énervement avec son surnom à la con, pour ne pas vriller je lui regarde froidement.et dis

-moi: bianca combien de fois dois-je te répéter d'être loin de moi et en plus arrête de m'appeler ainsi , je ne voudrais pas de ton cul explorer pour tout le monde même par les coqs alors éloigne toi de moi avant que je te réduit en miettes comme la merde que t'es.

Pas besoin de vous le présenter vous avez sans doute deviner que c'est la pute de ma mafia que je vais bien défoncer si elle ne se tient pas en carreaux.

Devant mon regard plus que froid et glacial elle s'éclipse sans demander son reste.

Enfin au calme je parcours les dossiers qui me restaient en attendant sagement l'heure pour aller zigouiller ces putains salopes.

Crossing eyesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant