chapitre cinquante-trois.

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Je ferme ma valise et je me pose sur mon lit un instant, il est l'heure de rentrer à la maison

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Je ferme ma valise et je me pose sur mon lit un instant, il est l'heure de rentrer à la maison. Je dois bientôt me rendre à l'aéroport alors je vais aller faire un dernier bisou à Justin, son vol n'est pas dans l'immédiat donc on ne va pas partir en même temps, ça sera Polly qui va m'accompagner parce qu'on a notre vol à peu près à la même heure.

Je ferme la porte de ma chambre et je rejoins le bâtiment C pour rejoindre celle de Justin, je frappe et c'est Lance qui ouvre, il lève les yeux au ciel quand il me voit, je le frappe.

— Eh! Je ne vais pas te voir pendant une semaine et tant mieux!

— Je sais que je vais te manquer.

J'ébouriffe ses cheveux et Justin rigole quand son coloc' râle, il nous laisse quand même seuls pour que je puisse dire au revoir à mon chéri, trop mignon.

— Bonnes vacances quand même.

— Merci, toi aussi bouffon.

Je lui tire la langue quand il se tourne près de la porte, il disparaît et je souris à Justin qui secoue la tête.

— Tu es prête?

— Oui, on ne va pas tarder à partir avec Polly.

Je fais la moue avec ma bouche et je m'accroche à sa taille pour poser ma tête sur son torse.

— Tu vas me manquer...

— Toi aussi mais ça va vite passer une semaine.

— Non!! Tu le sais!!!

Je baisse ma lèvre inférieure pour me donner un air triste et il embrasse mon front.

— On essaie de s'appeler tous les jours si tu veux.

— Ça va, ne t'inquiète pas, profite de ta famille, je te vois tout le temps moi.

— Et? J'aurais toujours du temps pour toi mon ange, si tu veux m'appeler tu le fais ok?

Je hoche la tête et pose ma bouche sur la sienne, pouvoir l'embrasser va me manquer. Je suis pathétique, je réagis comme si je n'allais plus voir ce mec alors que dans une semaine, on est ensemble à nouveau.

— Il faut vraiment que j'y aille...

Il refait tomber sa bouche sur moi et plaque sa main contre le bas de mon dos pour me tenir fermement contre lui.

— Mon cœur...

— Mmh. Tu m'envoies un message quand tu es à l'aéroport?

— Oui.

— Et quand tu as atterri!

— Promis, toi aussi.

Il hoche la tête et m'embrasse une dernière fois, je crois que la séparation est aussi dure pour moi que pour lui.

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