chapitre trente-sept.

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C'est l'heure de rentrer au campus et je suis un peu triste mais après cette super semaine, il est temps de retourner étudier, travailler et surtout de voir si j'ai eu mes examens ou non

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C'est l'heure de rentrer au campus et je suis un peu triste mais après cette super semaine, il est temps de retourner étudier, travailler et surtout de voir si j'ai eu mes examens ou non. Je préfère ne pas penser à ça pour le moment.

Ma valise est fermée et je n'ai plus qu'à la descendre mais je m'allonge un instant sur mon lit, Justin arrive au même moment dans la chambre avec sa trousse de toilette et il la met dans son sac pour le fermer.

— Tu es prête mon ange?

— Mmh.

Je ne bouge pas malgré tout.

— Tu es triste de partir?

— Un peu, j'aime bien être à la maison, j'aime surtout dormir dans un lit d'adulte.

— La semaine prochaine, tu pourras le faire et pour les week-end d'après, on s'arrangera.

— Je sais...

Il vient s'allonger à côté de moi et embrasse ma tempe.

— Je commanderais les billets en rentrant, ma mère pourra venir nous chercher à partir de vingt heures, comme la dernière fois.

— Et donc je te dois combien pour le billet?

— Absolument rien, je sais à quel point tu as aimé New York et je ne veux pas y aller sans toi.

— Merci mon cœur...

— Mmh j'aime beaucoup, ne m'appelle plus jamais Justin.

Je souris, je savais que ça lui plairait et je le laisse m'embrasser du bout des lèvres. Malheureusement, on ne peut pas rester éternellement ici et Justin m'aide à descendre ma valise. Ma mère nous attend en bas de l'escalier avec mon père qui tient absolument à nous accompagner également. Tifany, que je pensais au lit, est assise dans l'entrée et elle se lève précipitamment.

— Enfin tu te casses! C'était horrible de te revoir!!

— Pourquoi tu mens?

— Je n'oublie pas Justin que tu as dit que j'irais à New York avec vous!

— Mince, moi qui pensais que tu allais oublier...

Elle lui tire la langue et me saute dessus pour se coller à mon oreille.

— Je l'adore, il est cool!

Elle se détache de moi puis me fusille du regard.

— Dégage maintenant mocheté.

Je lève les yeux au ciel et lui donne un câlin même si elle râle, je sais qu'elle attend que ça parce qu'elle ne se serait pas levé aussi « tôt » pour mon départ si elle s'en fichait. Ma petite sœur va me manquer même si elle fait mine d'être mieux sans moi à la maison.

Nous partons en direction de l'aéroport et j'ai l'impression qu'on y arrive en trente secondes, sûrement parce que je n'ai pas envie de partir et je trouve les voyages toujours trop rapides dans ce cas.

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