chapitre vingt-neuf.

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Justin

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Justin.

Aleyna dort toujours quand je me réveille, j'essaie de ne pas trop bouger et je souffle, qu'est-ce qu'on va faire aujourd'hui? Je n'en ai aucune idée. On va commencer par traîner au lit, on est samedi et j'ai envie de ne rien faire. La semaine à venir va être prise de tête alors on va être à la cool pour la journée.

Mon téléphone vibre par terre, à côté de mon lit et je le récupère, c'est un message de Jessy.

« Soirée mec ce soir mon pote et tu n'as pas le choix! On va passer une très bonne soirée tu vas voir! »

Je verrouille mon téléphone quand Aleyna bouge, elle couine et me tourne le dos pour faire face au mur. Elle tourne légèrement la tête vers moi et je me colle à son dos, je glisse mes doigts sur la peau de sa cuisse toute douce et je souris quand elle frissonne, j'adore lui faire de l'effet à chaque fois et surtout dès le matin.

— Ça va mon ange?

— Mmh.

J'ai adoré lui faire l'amour hier soir et putain, si je m'écoutais, je la ferais hurler à nouveau ce matin mais je ne veux pas la brusquer, je veux que ce soit elle qui réclame comme hier soir parce que ça veut dire qu'elle a assez confiance en moi pour me laisser son corps, son petit air tout mignon me fait craquer putain.

Cette nana me rend débile mais j'adore ça.

— Tu veux que j'aille chercher à manger?

— Mmh si tu veux mais avec mon argent.

Je rigole aussitôt et embrasse son épaule, elle est tarée. Je sors du lit et Aleyna ne semble pas ok avec l'idée, elle fronce les sourcils et se tourne vers moi.

— Déjà?

— Quoi? Tu veux manger plus tard?

— Je voulais un câlin avant...

Elle fait la moue avec sa bouche, comme souvent et je souris, je retourne auprès d'elle et la colle contre moi pour embrasser son front.

— On fait quoi aujourd'hui?

— Ce que tu veux mon ange.

Je crois qu'elle réfléchit.

— Les magasins.

— Dans tes rêves.

— Tu as dit ce que je veux!

— Pas ça.

— Même pas drôle.

Elle ne dit rien.

— On le fera à Los Angeles alors?

— Ou chez toi?

Je sens qu'elle sourit. Je suis prêt à aller chez elle, je suis prêt à rencontrer ses parents et à ne plus lâcher cette nana. Ma mère l'a adoré, ma grand-mère aussi et elles m'ont demandé de la ramener très rapidement à la maison. Mon père l'a trouvé super tout comme ma belle-mère, j'adore l'idée qu'elle ait plu à tout le monde parce que je ne compte vraiment pas la laisser partir.

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