Tout ça c'est le destin..

Chapitre 26

~ Layli
Tout ça c'est le destin..

«je regrette pas de t'avoir choisi»

Au bout de la troisième sonnerie il a répondu j'ai relâcher toute la pression en pleurant encore une fois.

Zayn: Layli ? Qu'est ce que t'a ?!

- v- vient me chercher.

Zayn: ou ? T'es où dit moi.

- j- je sais pas..

Zayn: envoie moi ta localisation ok ?

- oui..m-mais tu restes avec moi hein ?

Zayn: je raccroche pas t'inquiète pas Je suis là ok ?

- oui..

Je lui ai envoyer ma localisation et il c'est mis à crier.

Zayn: MAIS COMMENT T'A ATTERRI LÀ ?! C'est à 1h de toute !

- vient s'il te plaît.

Zayn: raccroche pas j'arrive.

J'étais au sol en train de réfléchir au tournant de ma vie. Tout se passait bien, j'étais heureuse. J'avais plus aucun problème, je mettais débarrassé de lui pour qu'au final il revienne gâcher tout. J'ai une haine énorme contre lui. Quand je l'ai quitter j'espérais qu'il disparaisse de ma vie à jamais et que je le vois plus jamais. Mais c'était tout le contraire même quand on était plus ensemble il continuait à gâcher ma vie..

Mes paupières commençaient à être lourde, la fatigue arrivait. J'essayais de garder les yeux ouverts mais c'était plus fort que moi. J'ai fini par laisser mes paupières se refermer et le sommeil m'emporter.

[...]

Des bras sont passé au dessous de moi pour me porter. J'ai direct senti son odeur et je me suis senti protéger. J'étais toujours autant fatiguer alors je me suis rendormi.

[...]

Mes yeux se sont ouverts doucement, mes douleurs sont direct venu. J'avais mal partout particulièrement au ventre. Sois j'avais mes règles, sois il m'avait frapper à cette endroit. Autour de moi il y avait personne, mais j'entendais du bruit dans le salon. Tout ce que je savais c'est que j'étais pas chez moi.

Je reconnaissais pas cette endroit donc je pense que j'étais chez Zayn.

- Zayn ?

Quelques secondes plus tard la porte c'est ouverte sur Zayn.

Zayn: ça va ?

- j'ai mal au ventre.

Zayn: ou ça.

J'ai pointer l'endroit où j'avais mal.

Zayn: je peux ?

- oui.

Il me demandait l'autorisation pour soulever mon t shirt et regarder si j'avais quelque chose.