"The Final Countdown" par Europe
POV Gabriel Attal
Les projecteurs éclatants balayaient la scène du studio télévisé, créant une atmosphère à la fois électrique et oppressante. Assis avec une posture droite, je sentais le poids de mes responsabilités en tant que Premier ministre de la République française. En face de moi, Jordan Bardella, désormais président du Rassemblement National, affichait une détermination palpable, prêt à défier chaque mot que je prononcerais ce soir.
Le modérateur donna le signal de départ. "Bonsoir à tous. Ce soir, nous avons le plaisir d'accueillir deux figures majeures de la politique française : Gabriel Attal, Premier ministre, et Jordan Bardella, président du Rassemblement National. Messieurs, la parole est à vous."Je pris une profonde inspiration, mes pensées s'organisant déjà pour articuler notre bilan et nos projets avec clarté et fermeté. En tant que chef du gouvernement, chaque débat était une occasion cruciale de défendre nos politiques, nos réformes et notre vision pour l'avenir de la France.
"Et que dire de votre politique d'immigration, Monsieur le Premier ministre? Vous promettez des réformes, mais où sont les résultats concrets pour les Français?" interrogea Jordan avec un léger sourire en coin.
"Nous avons progressé de manière significative dans la gestion de l'immigration, en mettant en place des politiques qui visent à concilier la sécurité nationale avec nos obligations humanitaires," répondis-je, gardant mon calme.
"Des politiques qui ne semblent pas rassurer nos concitoyens. Vous parlez de progrès, mais les chiffres sur le terrain peignent un tableau bien différent, Monsieur le Premier ministre," répliqua-t-il, toujours avec ce sourire confiant.
Dès que j'eus la parole, je déroulai notre bilan avec assurance, soulignant les réussites économiques, les réformes sociales et les avancées en matière d'éducation. Chaque phrase était pesée, chaque argument étayé par des faits solides. Mon objectif était de convaincre l'audience que notre gouvernement menait le pays sur la voie du progrès et de la stabilité.
"Et qu'en est-il de votre réforme fiscale? Beaucoup de citoyens se plaignent de payer davantage d'impôts malgré vos promesses de réductions," riposta Jordan, sa voix teintée de scepticisme.
"Nous avons mis en œuvre des mesures pour alléger la charge fiscale des ménages à revenus moyens et modestes, tout en assurant une fiscalité juste et équitable pour tous," répondis-je fermement, reprenant le contrôle de la conversation.
Au fil du débat, nos échanges devinrent plus intenses. Nous abordâmes des sujets clés tels que la sécurité, l'emploi et l'intégration européenne. Chaque divergence de vue était une occasion de montrer ma détermination à défendre nos choix politiques tout en respectant le point de vue de mon adversaire.
Pourtant, quelque chose dans le regard de Jordan Bardella, un petit sourire en coin lorsqu'il sentait qu'il m'avait poussé dans mes retranchements, déstabilisait légèrement ma concentration. Ce jeu subtil entre nous créait un sentiment étrange, des papillons dans mon ventre que je ne comprenais pas tout à fait. C'était comme si, sous la surface de notre rivalité politique, une connexion imprévue commençait à se former.
"Et comment justifiez-vous la hausse du chômage parmi les jeunes, Monsieur Gabriel Attal ? Vos politiques semblent ne pas tenir leurs promesses," me défia-t-il, sa voix coupant l'air.
"Nous investissons massivement dans la formation professionnelle et la création d'emplois pour les jeunes. La transition vers une économie plus durable nécessite des ajustements, mais nous sommes sur la bonne voie pour réduire le chômage," répliquai-je, résolu dans ma réponse bien qu'un peu perturbé par son regard intense sur moi.
🎀🎀🎀
À la fin du débat, alors que les caméras s'éteignaient et que le public se dispersait, je me retrouvai seul un instant dans les coulisses avec Jordan. Nos regards se croisèrent, chargés de respect mutuel et d'une curiosité que je n'avais pas anticipée. Une tension inexpliquée, presque déstabilisante, flottait dans l'air entre nous, comme si nos échanges sur scène avaient ouvert une porte vers une compréhension mutuelle insoupçonnée.
"Tu t'es bien battu ce soir," dis-je, brisant le silence pesant qui s'était installé.
"Toi aussi," répondit-il avec un demi-sourire énigmatique. "Même si je ne suis pas d'accord avec toi sur grand-chose." Rajouta t-il, un sourire en coin qui eut le don de renforcer les picotements dans mon ventre
"C'est réciproque," rétorquai-je, un sourire en coin, cherchant à dissimuler l'effet que cette rencontre avait sur moi.
Nous savions que notre rivalité ne s'arrêterait pas là, mais quelque chose d'inattendu venait de se produire. Un fil invisible nous reliait désormais, une connexion étrange et complexe qui transcendait les clivages politiques habituels. Alors que je quittais les studios de télévision, je me demandais si cette rencontre fortuite n'était que le début de quelque chose de plus grand, de plus profond – une intrigue personnelle aussi intense que notre confrontation politique publique.
A suivre...
Ps : Les choses dites durant le débat ne sont peut être pas forcément bonnes... 😭 N'étant partisane d'aucun de ces deux partis j'ai fais comme j'ai pu en espérant que se ne soit pas trop faux 😭 je m'en excuse d'avance si c'est le cas 😔.
VOUS LISEZ
ℛ𝑒𝓁𝒶𝓉𝒾𝑜𝓃 𝓈𝑒𝒸𝓇𝑒𝓉𝑒 - 𝒜 ℬ𝒶𝓇𝒹𝒶𝓉𝓉𝒶𝓁 𝓈𝓉𝑜𝓇𝓎
Fanfiction𝒟𝒶𝓃𝓈 𝓁𝑒𝓈 𝒸𝑜𝓊𝓁𝒾𝓈𝓈𝑒𝓈 𝒹𝑒 𝓁𝒶 𝓅𝑜𝓁𝒾𝓉𝒾𝓆𝓊𝑒 𝒻𝓇𝒶𝓃ç𝒶𝒾𝓈𝑒, 𝒢𝒶𝒷𝓇𝒾𝑒𝓁 𝒜𝓉𝓉𝒶𝓁 𝑒𝓉 𝒥𝑜𝓇𝒹𝒶𝓃 ℬ𝒶𝓇𝒹𝑒𝓁𝓁𝒶 𝓈𝑜𝓃𝓉 𝒹𝑒𝓊𝓍 𝒻𝒾𝑔𝓊𝓇𝑒𝓈 𝓂𝑜𝓃𝓉𝒶𝓃𝓉𝑒𝓈 𝒶𝓅𝓅𝒶𝓇𝓉𝑒𝓃𝒶𝓃𝓉 à 𝒹𝑒𝓈 𝓅𝒶𝓇𝓉𝒾𝓈 𝑜𝓅𝓅𝑜�...