CHAPITRE 20

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Romy

Les cours avaient repris. Nous étions donc en classe, il ne restait que quelques minutes avant la fin de la journée. Mais elle ne serait pas terminée pour moi. J'avais rendez vous avec mon cher et tenter psychiatre. Lui qui me prescrit ces maudis médicaments. Mais je n'avais pas le choix de les prendre.

Aaron m'accompagnait à chaque fois que je de avis y aller. J'imagine qu'il s'inquiétait pour moi, en ce qui concerne ma santé mentale bien plus qu'insérable.

J'avais vu June ces derniers jours. Je n'avais aucune rancoeur envers elle. J'étais heureuse de l'avoir revue.

La sonnerie sonnait et Aaron et moi, nous rangions nos affaires pour sortir de ce lycée et aller vers le psy. 

Je n'avais pas un très bon ressentiment. Je savais que j'avais rechuté. Je me sentais bien avec Aaron, mais les rechute étaient inévitables. A mon plus grand malheur. Je voulais m'en sortir. Mais c'était si compliqué.

Aaron me prit doucement par la main, et nous sortons du lycée. Nous marchons dans les rues pour aller chez le psy. Je ne voulais pas y aller, mais je n'avais pas le choix.

Je serrais doucement la main de Aaron, lui, sentant mon stresse, le regardait avec un air qui se voulait rassurant. Il passe son autre main dans mes cheveux pour essayer de me rassurer.

— Tout va bien, Romy. Tu l'as déjà fait plein fois. Il n'y a pas de raison à ce que ça ne se passe pas bien.

Je lui souris doucement, il avait le chic pour me rassurer. Même si je pensais souvent l'inverse de ce qu'il me disait.

Je savais que j'avais chuté ses dernières semaines. J'avais peur que cela ne soit pas assez malgré tout les efforts du monde. Je savais très bien où tout cela pouvait finir. Et je n'avais pas envie que cela arrive. Il ne le fallait absolument pas.

Je ne supporterai pas d'être dans cette endroit une seconde fois.

Nous étions arriver devant le lieu. Nous entrons et je serrais une fois de plus la main d'Aaron et il me sourit doucement. Un sourire rassurant. Nous nous asseyons sur les chaises dans la salle d'attente. Attendant que le psychiatre vienne me chercher pour  commencer cette foutue séance. J'espérais qu'elle se termine vite. Très vite. Je ne voulais pas que ça dur plus longtemps que le temps de d'habitude.

Nous avions attendu 15 minutes, il était en retard. Ces personnes avaient le chic de ne pas savoir respecter un emploi du temps. Si on avait le malheur d'arriver ne serait-ce que 5 minutes en retard, ils refusaient le rendez-vous. Mais eux, on ne peut rien leur dire, évidement.

Le professionnel de santé avait décidé de pointer le bout de son nez et il me sourit en m'indiquant que je pouvais venir.

Je me levais et lâchais doucement la main de Aaron et lui souris doucement. Puis je m'approcher du psy' et nous nous engouffrons dans son bureau pour démarrer la séance.

L'heure était terminée et le verdicts final était tombé. Mes réponses l'inquiétait apparement. J'étais sortis de son cabinet, j'avais pris la main de Aaron et nous étions sorti. Je n'aimais absolument pas ce qu'il allait se passer pour moi.

— Alors ? Comment ça s'est passé ?

— Mal.

Aaron levait un sourcil. Surpris de la réponse que je lui avais donné. Qui ne le serait pas ?

Il s'arrête et se met devant moi en posant sa main sur mes épaules, avec un regard bien plus qu'inquiet.

— Quoi ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

INCOMPLET [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant