Chapitre 2

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Hadès

Je souffle entre mes lèvres au rythme de la musique Old Doll pour essayer d'atténuer les cris de l'homme accroché dans la pièce d'à côté tout en lavant mon couteau rempli de sang.

— S'il vous plaît, lâchez-moi. Promis, je ne ferais plus rien. me supplie-t-il.

Que l'être humain peut être marrant. Ils osent faire des choses impardonnables sur des personnes et sur des mineures mais quand on les met en face de leurs crimes, soit ils nient, soit ils demandent de les pardonner. Ils vont même nous demander de pardonner le crime le plus monstrueux.

Quand mon couteau est redevenu propre, je le range pour, cette fois, prendre des ciseaux.

J'arrive près de l'homme et je vois ce que je lui ai fait depuis maintenant deux heures.

Du sang coule le long de ses jambes, de ses bras et de son torse. Les parties que j'ai le plus mutiler. Après, il y a aussi du sang qui coule du bout de ses doigts et de ses pieds, étant donné que j'ai arraché ses ongles un par un. Cet homme est sacrément fort pour ne pas s'être évanoui une seule fois.

— Bon, une dernière étape et puis je vous tue, ça vous va ?

— Quoi ? Mais pourquoi ? Non s'il vous plaît !

Il commence à s'agiter face à mon aveu. Que voulait-il que je fasse ? Le laisser partir ?

Grâce à la maison que j'ai acheté, il y a plusieurs années maintenant, au milieu de nul part, je peux le torturer autant que je veux, personne ne va jamais l'entendre. Alors j'en profite. Je le fais souffrir autant que je peux. Je veux qu'il souffre autant que la fille qu'il a violée. Malheureusement, lui ne vas souffrir que physiquement et mourir après, tandis que la fille va souffrir toute sa vie et probablement jamais s'en remettre.

Je m'approche de lui et baisse son pantalon et son boxer rose.

— Tu veux faire le mal alpha à violer une petite fille de dix ans mais tu portes un boxer rose.

Je me mets à rire sans me contrôler.

Mais, quand à la vue de sa bite, je perds aussi tout mon contrôle. La torture me fait toujours bander, mais quand je vois sa bite, la mienne me fait douloureusement mal tellement que je bande encore plus.

Sans vraiment m'abaisser, étant donné que sa bite est pile à la taille de mon visage, je prends celle-ci et l'enfourne dans ma bouche. Je commence des va-et-vient assez rapide et, après seulement cinq minutes, constate qu'il ne bande pas, la raison reprend surface et j'arrête ce que j'étais en train de faire pour me concentrer sur la mission qui m'a été confiée. Même si j'adore torturer les gens, je ne le fait pas que par plaisir, mais aussi parce qu'on me paye pour ça. Cette fois, c'est un père de famille aimable qui m'a demandé de tuer ce politicien raciste, homophobe et, en plus de ça, pédophile.

— Désolé, je me suis égaré. dis-je en essuyant de ma bouche la salive qui coulé. Où étions-nous déjà ? Ah, oui, ça me revient, je dois couper ta bite et tes couilles.

Les yeux du politicien s'écarquillent et il commence à bouger dans tous les sens, encore.

— Nous, s'il vous...

Je ne lui laisse pas le temps de continuer que je coupe une première couille. Étonnamment, l'homme ne crie pas. Au début, je pense qu'il est déjà mort et arrête donc tout le fun du moment, mais quand je lève le regard vers lui, je vois qu'il pleure. Ouf, on va pouvoir continuer.

Tu sais maintenant pourquoi tu es ici ? je demande pour la millième fois depuis que je le torture.

— Non... Non toujours pas !

Hadès & Perséphone T1 : les dieux de l'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant