Je T'aime moi Non Plus Tome 1(BARDELLAXATTAL) Terminé

chapitre 9 (quant le passé nous rattrapes)

BARDELLA/ATTAL.....

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Mon Jordan, je suis sûre que tu es en train de lire ce message en te demandant pourquoi je suis partie. Ne t'inquiète pas, je ne t'ai pas abandonné.
Je suis juste allée régler quelques modifications, rejoins-moi au quai quatre de la gare, je t'embrasse fort, ton Gabi.

Le cœur au bout de ces lèvres, Jordan sourit, se levant, il commença a
S'habiller, arrangea le lit, puis prit son sac et partit en laissant un petit mot de remerciements à cette famille formidable.

***

Marchant sur le quai de la gare Jordan rentrant dans le train avança à la recherche de Gabriel il finit par arriver au dernier wagon son cœur s'illumina en voyant le petit déjeuner    installé sur une table s'imprégnant de l'odeur des croisant chauds et du café Jordan s'avança vers Gabriel et l'embrassa tendrement.

— Normalement, c'est moi le romantique dans cette histoire, murmura Jordan entre deux baisés.

— Je sais, chuchota Gabriel ;il faudra que tu te rattrapes, finit-il par dire en caressant le visage de son Jordan.

— Oh… Mais j'y compte bien, je peux même te donner un avant-goût, murmura Jordan en effleurant la mâchoire de son Gaby. Frissonnant au contact des lèvres de Jordan, Gabriel lâcha un soupir.

— Garde ton énergie pour ce soir, murmura Gabriel en s'asseyant sur le siège.

— Ce soir ?

— Assieds-toi Jordan ;j'ai pas mal réfléchi cette nuit, je me suis dit que si on partirait quelques jours en Bretagne, on pourrait discuter de nous et parler de la situation qu'on devra gérer et n'en dès moindres vu que nous sommes toujours candidats à la présidentielle s'exprima Gabriel.

— En Bretagne, chez ta grand-mère.

— oui, je me suis dit que c'était le seul endroit où nous pourrions être tranquilles loin de la société, en plus amie Lucette et très heureuse de revoir son "Jody" m'avait-elle dit au téléphone s'exprima Gabriel en souriant

— Jordy, mon Dieu, j'avais oublié ce diminutif, chuchota Jordan en prenant une gorgée de son café

Par contre, de mon côté, j'ai déjà averti mon parti que je prenais un congé prolongé et que j'ai dit que je ne voulais pas qu'on me dérange si tu pourrais faire la même chose de ton côté.

— Oui, j'irai tout de suite le faire, dit Jordan en partant au fond du couloir, pendant ce temps-là Gabriel envoya un message à Clémence en lui disant qu'il était passé à la pharmacie pour prendre sa médication et qu'il partait se ressourcer chez sa grand-mère.

— C'est bon, j'ai raconté que je partais rendre visite quelques jours à mes parents dans le sud, s'exclama Jordan, tout essoufflé.

— Eh… ta femme, qu'est-ce qu'elle t'a dit, chuchota Gabriel d'un air inquiétant.

— Gabriel soupira Jordan en se rapprochant ;j'ai cru qu'on était là pour nous et pas pour penser à ce que nous avons laissé à Paris, mais pour te rassurer ma femme m'a juste dit de salué mes parents et de passer du bon temps avec eux chuchota Jordan en entremêlant, c'est doigts dans la chevelure de son amant

— Heureusement qu'elle ne sait pas que c'est avec moi que tu vas prendre du bon temps, murmura Gabriel, caressant de bas en haut la cuisse de Jordan.

— Je vais t'en donner   tout de suite du bon temps souffla-t-il en embrassant passionnément Gabriel celui-ci hoquetant continua à s'acharner en pinçant l'entre-jambe de son Jordan, leurs désirs étaient si forts qu'ils laissèrent leurs gémissements envahir le wagon obnubilés par leur baiser brûlant ils remarquèrent même pas que le train siffla le départ.