chapitre 8 (l'amour et dans le pré parti 2)

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BARDELLA/ATTAL....

Cela fessait une bonne quinzaine de minutes que le taxi roulait en direction de  la Ferme de monsieur Edgar Délatte, assis derrière nos deux politiciens se mirent à étudier le dossier de ce fermier, monsieur Délatte possédé une ferme agricole où ils produisent du blé, maïs et de multiples légumes Attal remarqua que se Délatte posséder aussi un troupeau de vaches un poulailler et une porcherie quant à Bardelle, il fit remarquer à Attal le salaire misérable de neuf cents euros qu'avait ce pauvre fermier tous deux firent des mimiques inquiétantes, en parlant tout bas nos deux politiciens se demanderaient combien de temps ce gouvernement avaient-ils fermé les yeux pour laisser des travailleurs noble tomber dans une misère insoutenable ?

Le taxi fini part s'arrêter tous deux remercièrent le chauffeur, la bouche grand ouvertes en voyant une veille maison joliment rénovée, la décoration des géraniums rouge qui tomber élégamment sur le grand balcon en bois et les multiples fleurs au bord du chemin était particulièrement romantique pensa Jordan.

Tous les deux marchèrent à la rencontre du fermier qui venait de sortir de la maison, monsieur Délatte était un vieux monsieur de septante ans, son dos légèrement courbé, ses cheveux grisonnant dépassant du béret et les rides sur son visage refléter une fatigue qu'il traînait depuis longtemps.

- Monsieur, bonjour, beugla Edgar avec un accent bien renfermé.

- Bonjour, monsieur Délatte, merci beaucoup de nous avoir invités, s'exclama Jordan en lui tendant la main. Celui-ci empoigna la main fortement, Jordan brama silencieusement.

Attal qui se tenait à côté, constatant l'incommodité de Jordan, se mit à rire discrètement.

- appelez-moi Edgar, je préfère bon, suivez-moi, je vais vous montrer vos chambres, j'espère qu'elles vous plaisent, c'était ma femme qui décorer la maison avant qu'elle décède d'un infarctus, maintenant ch'est ma fille Jeanne qui a pris le relais

- Toutes nos condoléances dirent nos deux politiciens en rentrant dans la maison tous deux se mirent à regarder autour d'eux l'infrastructure de la maison Attal en se rapprochant d'un vieux meuble en bois se mit à sourire en voyant dans la vitrine des vieux services en porcelaine un air de nostalgie traversa le cœur de Gabriel.

Jordan qui se tenait non loin de lui s'approcha et se mit à regarder la vitrine.

- Ces tasses ressemblent étrangement à celles de ta grand-mère, chuchota Jordan.

- Dingue... que tu t'en souviennes, chuchota Gabriel.

- Je me souviens de tout Gabi... chuchota Jordan en effleurant la manche de la veste à Gabriel avant de partir vers Edgar.

Il ne faut pas traîner, dit Edgar, fessant signe aux deux politiciens de le suivre vers les escaliers. Arrivant au premier étage, Edgar ouvrit la première chambre qui était destinée à Gabriel. Celui-ci était euphorique en voyant des vieux meubles baroques, le mur été joliment décoré d'un papier peint vintage.

- C'est magnifique monsieur Edgar, s'exclama Gabriel.

- Ah... Ch'a, ch'est ma fille Jeanne qui l'a décorée, monsieur Bardella, votre chambre se trouve au fond. En rentrant dans la deuxième chambre Jordan resta perplexe en voyant la décoration rocambolesque et n'en des moindres des tableaux de plusieurs Saints était accroché sur un mur blanc délavé en se retournant vers le lit Jordan soupira en voyant l'énorme croix du Christ, mais ce qu'il lui fit sursauter ce furent les vielles poupée encastré dans un vieux meuble.

- Bon... je vous laisse vous débarbouiller, je vous attendrai dehors tous deux hocha la tête en guise de remerciements.

Attal, se tenant devant l'entrée de la chambre, ne put éviter de se mettre à rire.

Je T'aime moi Non Plus Tome 1(BARDELLAXATTAL) TerminéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant