chapitre 15 (le trio a fleur de peau)

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BARDELLA/ATTAL/CLÉMENCE

Deux semaines s'étaient écoulées depuis que Gabriel avait partagé son secret. Malgré le fardeau de la maladie qui le tourmentait, avec des nausées le matin et des douleurs le soir, il ressentait une légèreté nouvelle dans son cœur. La peur qui l'étreignait s'était dissipée, laissant place à une détermination renouvelée. Il désirait ardemment se battre, plus intensément qu'auparavant, prêt à renaître et à entamer un nouveau chapitre de sa vie aux côtés de Jordan.

En ouvrant les yeux, Gabriel se mit à contempler son homme, qui dormait paisiblement à ses côtés. Les draps blancs laissaient deviner le dos musclé et la courbe délicate de ses fesses. En passant sa langue entre ses lèvres, Gabriel sentit une vague d'émotion l'envahir, une douceur mêlée d'admiration pour l'être cher à ses côtés. Ce moment de tendresse, simple mais puissant, éveillait en lui un sentiment de plénitude et de bonheur.

En le contemplant,Une vague de chaleur douce s'empara de son être, comme si cette chair délicate et vulnérable ne demandait qu'à être caressée, embrassée, léchée, tout en écoutant le battement régulier de son cœur. Avec une douceur infinie, Gabriel se mit en position, son bas-ventre parfaitement aligné sur le début de cette courbe séduisante,Dans une caresse délicate, Gabriel s'inclina, laissant son esprit vagabonder et esquisser des motifs de lave ardente avec sa langue sur cette peau, qui se réveillait en frissons.

Les yeux à demi fermés, les mains agrippant les draps avec force, Jordan laissa échapper des gémissements, ressentant les lèvres ardentes de Gabriel s'acharner sur lui. L'adrénaline en lui s'élevait, telle une lave prête à jaillir d'un volcan. Une douleur vive se manifesta lorsque Gabriel commença à mordiller le début de ses fesses. À bout de nerfs, dans un élan brusque, Jordan se retourna, faisant basculer Gabriel sur le dos contre le matelas, maintenant fermement ses poignets, comme pour sceller un moment de passion intense.

- N'avez-vous donc jamais appris, Monsieur Attal, qu'il est imprudent de réveiller le loup qui sommeille souffla Bardella sa voix empreinte de désir.

Gloussant, il observa Jordan avec un regard ardent, sa respiration rauque trahissant son excitation. D'un ton sensuel, il murmura :

- Si... mais ma curiosité était trop forte pour ne pas savoir comment le loup allait réagir, chuchota Gabriel d'une voix brisée.

-Je me vois contraint de vous dispenser une leçon de discipline, Monsieur Attal, murmura Jordan avec une intensité ardente.

- J'attends avec une impatience désespérée,Monsieur Bardella.

Jordan, se laissant emporter par la passion, se frotta délicatement contre le bas-ventre de Gabriel, émettant un son érotique qui résonna dans l'air chaud de leur étreinte. Son amant, captivé par cette invitation sensuelle, l'embrassa avec une ardeur dévorante, tandis que Jordan se cambrait, cherchant à intensifier ce moment de plaisir partagé.

Dans cette passion dévorante, nos deux amants se laissèrent emporter par des ébats brûlants, oubliant tout ce qui les entourait. Ils se livrèrent à des gémissements qui envahissaient la chambre comme une mélodie sensuelle.

- Attal... Attal... !

- Oui, mon amour, murmura Gabriel, les yeux clos, perdu dans l'extase.

- Quoi ?... souffla Jordan, descendant langoureusement sur le torse de son amant.

- Tu as énoncé mon nom... je... t'écoute, murmura-t-il, la voix teintée d'une douce curiosité.

- Je... t'ai pas appelé, mon amour.

- Alors, si ce n'est pas toi, c'est qui ?

- Sûrement que ça vient du couloir, murmura Jordan, l'esprit embrumé par le désir.

Je T'aime moi Non Plus Tome 1(BARDELLAXATTAL) TerminéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant