partie 7 (l'amour est dans le pré parti 1)

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BARDELLA/ATTAL....

Au milieu des journalistes, nos deux ex-amant essayés temps bien que mal à dissimuler leurs mal-être en souriant ironiquement devant les caméras, ils prirent leur mal en patience en répondant aux questions, ce qui ne s'y attendait pas, c'était la goutte de trop qui fit déborder le vase.

Un poignet de mains pour Paris, Mach cria un photographe.

- Heu... je pense... que... - Bégaya Jordan en remettant sa cravate.

- Arrête de jouer au con et donne-moi t'as main chuchota Attal en forçant Jordan à lui prendre la main, ils firent la pose et se mirent à saluer avant de rentrer dans le train longent le couloir ils arrivèrent dans un wagon exprès pour eux, Attal finissant de mettre ça valise dans le porte-bagage exténué il se laissa tomber sur le siège quant à Jordan il se mit à faire les cent pas en parlant au téléphone avec Corinne supposa Gabriel en voyant Jordan rigoler béatement, il soupira jalousement en ouvrant le rideau de la fenêtre.

- Nous voilà enfin tranquilles, s'exclama Jordan en fermant le rideau.

- Mais ce que tu fais, laisse ce rideau ouvert, j'ai besoin de voir le paysage.
Énonça Gabriel en rouvrant le rideau.

- Eh... moi, j'ai besoin de me reposer, du coup, il restera fermé.

- Nous avons le wagon rien que pour nous deux, pourquoi tu ne vas pas te reposer à côté, ou mieux encore, prends place au fond, comme ça, je serai enfin tranquille, s'exclama Gabriel en lui montrant le siège opposé à lui.

- Vos désirs sont des ordres, monsieur le prétentieux, s'exclama Jordan ironiquement.

Attal ne broncha pas, les bras croisés contre sa poitrine, Jordan revint à la charge.

- Toi aussi, tu en as dit des conneries, grogna Jordan en le dévisageant.

- Cite-moi en une, alors toi, qui c'est tout ?

- ces absurdités de déclencher le 49.3 la hausse du carburant, avoir fermé les yeux en se moquant des gilets jaunes quand il manifestait, avoir arrêté le nucléaire et laisser l'Europe diriger notre pays, s'exclama Jordan en ouvrant son sac à dos

- Je ne faisais pas partie du groupe Renaissance à l'époque, donc ça ne compte pas, finalement, tu n'es pas si futé que l'on dit, répondit Attal en regardant son téléphone.

- Ben, maintenant, ça te concerne, vu que tu en fais partie, s'exprima Jordan en mettant son Chupa Chups
Entre ces lèvres

Dévisageant furtivement, lâchant un sourire discret, Gabriel était étonné de voir que son Jordan était toujours aussi séduit par les bonbons. Finissant de rêvasser, allumant les brèches, il répondit à Jordan en lui disant, je te renvoie l'appareil.

Jordan, haussant un sourcil, resta perplexe...

- Ça n'a pas de sens, ce que tu dis. Gabi finit par dire son ex-amant en roulant son Chupa Chups entre ses lèvres.

- Tes préjugés en disant que j'étais fautif, s'exprima Attal, en fixant nerveusement le Chupa Chups qui glissait entre les lèvres de Jordan.

- Vas-y, je t'écoute, monsieur Attal, s'exprima Jordan en souriant ironiquement.

- Vous avez bien insinué que les chambres à gaz n'avaient pas existé, vous avez voté aux européennes contre l'IVG, vous voulez mettre des amandes aux femmes voilées, interdire le mariage pour tous... Ah, sans oublier la cerise sur le gâteau, la fameuse phrase pendant les élections présidentielles de 2017... Comment c'était... Ah... si... regardez, ils sont là, ils sont dans les campagnes, dans les villes, les envahisseurs... finit-il par dire Gabriel, aillant un rictus au coin des lèvres.

Je T'aime moi Non Plus Tome 1(BARDELLAXATTAL) TerminéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant