Je T'aime moi Non Plus Tome 1(BARDELLAXATTAL) Terminé

chapitre 10 un nouveau départ

BARDELLA....

Cela fessait un mois que nos deux amants prirent la décision de vivre leurs histoires d'amour caché des regards indiscret, comme promis tous deux se déchiraient corps et âmes pendant les débats Bardella avec sa voix hautaine et son regard sombre dictait ses convictions avec détermination quant à Attal sans détour et sans ménagement revenait en force s'exprimait d'une voix rassurer démontrant que tout ce qui disait Bardella sonner faux tout comme son parti, tous deux ne le laissaient pas passer le moindre attirance ardeur où sentiments à travers leurs yeux aucun sourire malicieux tout devait être irréprochable pour ne pas semer le doute sur leurs histoires d'amour et même si c'était difficile, dès que les débats finissait tous deux se retrouvaient pour assouvir leurs désirs impulsive.

À l'Assemblée nationale...

Jordan d'un pas décisif se mit à monter les escaliers deux à deux, nerveux et tout essoufflé, il répondit sèchement sur son téléphone.

- Quoi ?

Mais tu fous quoi, Jordan, ça fait dix minutes que je t'attends.

J'arrive, je suis en train de monter au premier étage.

Je ne suis pas au premier étage, j'ai changé de pièce, je suis au sous-sol.

Gabi, tu m'énerves à vouloir tout le temps changer de pièce.

Chuchota Jordan en redescendant les escaliers. Bifurquant à droite, il vit Marion au loin.

Merde

Qu'est-ce qui se passe encore ?

Beugla Gabriel dans le téléphone

J'ai Marion qui me fait signe.

Super, il manquait plus qu'elle, fais-lui signe et barre-toi.

C'est ce que j'ai fait, détends-toi, je suis là, dis-moi dans quelle pièce tu es.

La deuxième pièce à gauche

Ouvrant la porte, Gabriel se retourna se dévisageant un instant fermant la porte derrière lui, Jordan se précipita vers son amant l'embrassant avec ardeur, il souleva Gabriel et le posa sur une vielle table, leurs gémissements résonnent autour d'eux, leurs mains se baladaient sans relâche

- Tes lèvres m'ont manqué, Jordan, hoqueta Gabriel en sentant les lèvres chaudes de son amant sur son cou.

- Les tiennes aussi, souffla Jordan ; trois jours par semaine, c'est trop court, murmura Jordan en le dévisageant avec des yeux fiévreux.

- Je te signale que c'est toi qui as instauré les trois jours par semaine, souffla Gabriel en agrippant les fesses avec fermeté de son Jordan.

- Ah... oui, je ne devais pas avoir toute ma tête ce jour-là, souffla Jordan, déboutonnant la chemise à son Gabi.

- Jordan, active-toi, j'ai rendez-vous dans une demi-heure chez BFMTV

- Ah... Oui... et vous allez parler de quel sujet ?

- On s'en fiche, pour l'instant, mon sujet, c'est toi, murmura Gabriel en faisant basculer Jordan sur la table.

Ils laissèrent leurs langues valser dans un tourbillon électrique, leurs mains se baladaient frénétiquement au rythme de leurs respirations saccadé, gémissant, mordillant, se frottant, laissant leurs désirs s'évader dans le sous-sol de l'Assemblée nationale.