The Cercle

6. Baignade improvisée

                                    Casa Martínez

Jaimee:

Je me regarde une dernière fois dans le miroir avant de sortir de ma chambre, suivant la sœur Martínez.
Lorsque j'atteins les premières marches des escaliers, j'aperçois les deux frères Martínez ainsi que...Véronica et...Fernando je crois.

Super. Au moins Kate ne vient pas ce soir.

Je commence à descendre les marches des escaliers un à un, faisant claquer mes talons aiguilles sur le sol.
Tout les regards, sans exception, se pose sur moi. Je continue de descendre majestueusement les escaliers et arrivée en bas, Tous les yeux presents reluquent ma tenue.

Haha. Très drôle celle là.

En commençant à descendre les escaliers, par je ne sais quel dieu, je trébuche et tombe. Je commence à rouler dans les escaliers comme une pâte à pétrir jusqu'à atteindre le bas des marches.

On ne peut pas faire plus proche avec le sol que ça.

Lorsque ma petite roulade se termine, je sens une douleur lancinante émaner de tout mon corps. Je l'ignore et me relève avec toute la grace dont je dispose depuis ma naissance en époussetant mes vêtements.
Je relève la tête et remarque instantanément le regard moqueur que Véronica me lance.

Je tourne la tête pour observer les autres présents dans l'espace mais aucun d'entre eux ne me prêtent attention.

Je vous en pris. Ce n'est pas comme si je venais de tomber pour la deuxième fois dans la journée comme une merde.

À la fin de cette réflexion, je jurerai apercevoir un sourire un coin sur la face du premier Martínez, pas sûre qu'elle soit engendré par moi ou par sa discussion avec son frère et son bras droit. Saviola vient se planter devant moi.

—Tu va partir jusqu'au Yacht avec Jairo me dit-elle naturellement avant de repartir aussi vite qu'elle est arrivée.

Avec qui?

Elle vient de dire avec Jai-

Ça va j'ai entendu ta gueule.

Je souffle de frustration et commence à suivre le cannibale qui se dirige vers la porte de sortie. Il s'avance vers le garage. Il l'ouvre à l'aide d'une télécommande électronique. Je le suis sans un mot. Il se dirige vers une Lamborghini décapotable couleur noir avant de l'ouvrir et de pénétrer à l'intérieur.

Je ne me fis pas prier et pénètre à mon tour la voiture.L'intérieur de l'habitation est aussi luxueux que l'extérieur disposant de siège en cuir  avec des contours rouges sangs ainsi qu'un écran tactile.

Je tourne la tête vers le salopard. Vêtu d'une chemise noire dont les premiers boutons sont ouverts et d'un pantalon en tailleur de la même couleur, il porte aussi une montre dorée sur sa poignée qui doit surement couter une fortune. Le connard a aussi prit la peine de tresser ces cheveux bouclés en nattes collées attachées dernière son crâne.

Je remarque également un petit tatouage sur son œil gauche dont je ne prêtai pas attention: une larme.

Bizarre. Qui se fait tatouer une larme sous l'œil.

—Tu te tient tranquille, ne parle à personne, ne regarde personne, n'ouvre pas ta gueule et évite  de t'écraser sur le sol comme une merde sinon je te jette par dessus le bateau énumère de connard.