Le prince et la sirène - Léon Marchand

Chapitre 6

Sirena

Mon réveil sonna. Je me leva en hâte. Aujourd'hui j'étais tellement stressée. C'était les qualifications pour la natation synchronisée. Je devais rejoindre mes coéquipières à 6h piles à la défense pour s'entraîner.

Je me leva, fit mon sac et alla dans la salle de bain, j'attacha mes cheveux le plus plaqué possible, de toute façon ce n'est que l'entraînement ce matin.

- Tu t'es levée tôt.

Sa voix me fit sursauter. Il était 5h30, lui aussi c'était levé tôt. Je l'ignora et partie.

- OK les filles, et surtout, pensez bien, nous sommes là France. Il faut qu'on leur montre ce qu'on a dans le sang.

Notre coach, Nathalie était tellement fière de nous. Elle nous encourageait depuis au moins 10 min.

Les qualifications commençaient dans exactement 7 minutes et nous passions en avant dernières. Pour dire, on avait encore quelques heures devant nous. Quelques filles de mon groupes s'échauffaient, d'autres faisaient de la relaxation et quand à moi, je stressais comme une malade.

Il fallait que je trouve mes médicaments, j'avais oublié de les prendre. C'était toujours important. Je cherchais puis trouvais ma boîte. J'en pris 3.

Ça y est, c'était à nous. Il fallait assurer. Alors que notre musique commença à retentir, tous sourires, nous plongeons dans la piscine de l'arena.
Nos mouvements étaient parfaitement synchronisés, la musique battait fort, dans note cœur. Et le public était à fond. Les filles commençaient à faire la structure avec leurs jambes. Cette fois, c'était moi la vedette. Je monta le plus haut possible.

1,2,3.
Et je fis un saltaut arrière. Ça y est, c'était finit. On l'avais fait.

On sortit de la piscine tandis que le public était en feu. J'étais tellement contente. Il fallait encore attendre que les brésiliennes passent et quelques temps après on pouvait avoir les résultats. En attendant, je regardais leurs prestations, elles étaient vraiment très fortes. Impossible de les battre.

Alice, une de mes copines vint s'asseoir sur le banc à côté de moi et passa un bras autour de mes épaules.

- On a tout gérer ma Sisi, t'inquiètes pas on va gagner.

- Oh que oui ma belle, me dit mon autre copine Marion en me faisant un bisou sur la joue.

Elles savaient toutes les deux à quel point cette compétition était très importante pour moi, encore plus que pour elle. Et elle était fière de m'avoir vu m'en sortir et réussir.
Alice et Marion avaient toujours été la pour moi. On s'était rencontré il y a 5 ans quand j'avais décider de rejoindre l'équipe de natation artistique. Notée amitié avait été comme un coup de foudre. Alice est d'une gentillesse et bienveillance incomparable, elle est toujours soignée sur elle. Son carré plongeant est toujours bien taillé et jamais un de ses vêtements n'a un plis. Dans le style classique mais chic, elle est toujours la gagnante. Marion quant à elle est un tout autre personnage. Elle me fait tellement rire au quotidien mais toujours en veillant sur Alice et moi. Elle est plutôt désordonnée mais ce style lui va plutôt bien. Ses cheveux changent toujours de couleurs et de tailles, cela peut passer de la couleurs aux extensions. Tandis qu'à son style vestimentaire, c'est vraiment plus qu'aleatoire. Elle peut très bien mettre une jupe sur un pantalon ou alors un t-shirt par dessus un pull, mais le meilleur dans tout ça, c'est que ça rend toujours joli.

Je tiens mes deux copines par les mains. Nous trois on est un peu comme les trois petits cochons, toujours inséparables.

Le présentateur commença à parler.

- Mesdames et messieurs, les juges on donnés leurs verdict. Sont qualifiés pour la suite du championnat des jeux olympiques : Les États-Unis, L'Espagne, Le Canada...

Je voyais les équipes adverses sauter de joie, et le public aussi. Pour le moment ce n'est que les meilleurs qui sont appelés. Je serre plus fort les filles et elles m'enlacent aussi.

- La France, La Chine...

Quoi ?

- OH MON DIEU SISI, cria Marion.

- ON L'AS FAIT, cria Alice.

On a réussi, on est qualifiées. Je sauta au cou des filles et des autres coéquipières et notre coach. On était tellement contente. Les filles commencèrent à courir voir leur famille. J'étais tellement contente. J'avais réussi. Je suivis Alice et Marion jusqu'au tribune et vit ma famille accompagnée de celle des Marchand. Je sauta dans leurs bras. Ils me répéterent qu'ils étaient fiers de moi.
Je pris Xavier et Oscar dans mes bras en même temps.

Et, je ne sais ce qu'il me pris. L'euphorie peut-être ? L'extase, l'adrénaline ?

Je pris Léon dans mes bras.

Suite à ce geste, il ressera tout de suite son emprise sur moi. Je ne sais pas pourquoi mais, j'étais contente. Pendant un court instant j'oubliai.

Quand nous nous séparons, il était tout souriant, et moi aussi. Lui, sûrement car il pensait que j'avais tourné la page, moi parce que j'avais été qualifiée.

- Je suis content pour toi.

Je fis abstraction de ses paroles et nous nous tournions vers nos parents. Ils étaient là et nous scrutaient. Je savais ce que voulait dire ce regard. Léon aussi. Ils pensaient qu'il y avait quelque chose entre nous. C'est pour cela que nous nous eloignont d'un geste brusque soudainement tout les deux.

- Bon les enfants, vous connaissez la tradition ? Quand l'un de vous gagne, c'est restaurant !

Xavier était tellement content de nous dire ça. C'est vrai que depuis tout jeune, dès que quelqu'un de la famille gagnait je compétition, on allait toujours fêter ça au restaurant par la suite.

- Très bien les enfants, on vous laisse, soyez prêts pour 20h on vient vous chercher en voiture.

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hola a todos, ¿cómo están? 

j'espère que ça vous plaît.

Dites moi si vous voulez que j'ajoute des moment ou autre.

Et surtout... est ce que vous avez une petite idée de ce qu'il c'est passé il y a 4 ans entre nos deux jeunes ?🤫🤫🤫😏😏.

Biensur, moi j'ai déjà ma petite idée, mais vous pouvez me soumettre les vôtres. Qui sait ? peut-être que je trouverais une meilleure idée que la mienne !!

Prenez soin de vous,
ellevousaimes