Chapitre 23

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Sirena.

Je me réveillait dans un lit qui n'était pas le mien.

Et merde, hier j'avais couché avec Léon. Pourquoi « et merde » même ? C'était incroyable. Cela avait été génial. Et je crois que notre expérience a tout les deux n'avais fait que d'augmenter l'ampleur de mes sentiments envers lui. Je le voulais dans ma vie.

Alors que je me redressais, je remarquais qu'il n'y avait plus personne dans le lit. Mais en tapotant, la place était encore tiède. Il n'était pas parti il y a longtemps. La pièce était légèrement illuminée par la lumière de la salle de bain.

J'enfila une culotte et un t-shirt de Léon pour aller dans la salle de bain. Il était en train de se brosser les dents. Il était torse nu avec une serviette autour des hanches. Je l'enlaca par derrière, il sourit.

- Comment tu vas ? il me demanda.

- Je n'ai jamais été aussi bien.

Il se retourna, s'essuya la bouche et me regarda dans les yeux. Il pris une mèche de mes cheveux et la mis derrière mes oreilles.

- Tu sais que je ne suis pas douée pour ce genre de chose mais, je tiens à toi, il me dit. Si tu vois ce que je veux dire.

Est ce que c'est un déclaration ? Est ce que, lui aussi m'aime en retour comme moi je l'aime ? Il m'aime comme un fou ? Comme un homme amoureux ? Je me fais sûrement des idées.

- Tu, tu me plais. Je ressens des choses pour toi, je...

Je le coupais en l'embrassant. Il entoura ses bras autour de moi. Je ne voulais pas en entendre plus.
La dernière fois, il était partit le lendemain.

- Je voudrais te voir dans mes vêtements tout les jours, il me dit en souriant.

- Et moi j'ai hâte de te piquer tes vêtements, ici on aime l'over-sise, je rigolais.

J'allais dans sa chambre pour regarder ses pulls. J'en pris un bleu foncé avec marqué «  Marchand » en gros dans le dos. C'était les pulls officiels des athlètes des jeux olympiques. Ils étaient uniques, et faits sur mesure. Aucun fan de Léon ne pouvait l'avoir. Et j'étais alors contente.

- J'ai ma dernière compétition tout seul ce soir. Je t'avoue que je stresse un peu, il me dit en rentrant dans la chambre. Ce  sweat te va à merveille, comme ça les gens verront que tu m'appartiens.

Je lui sourit et alla me laver. Lui, partit à son entraînement.

Je crois bien que j'ai passé toute la journée dans l'appartement stressée par le fait de retrouver mon père le soir à la course de Léon.
Avec le pull bien plus grand de Léon, je mis une jupe rouge plissée et des bottines.

J'appelais un taxi pour m'y enmener. Quand j'arrivai, je saluait les parents de Léon et les miens sans en dire trop. Mais je les entendit surtout parler dans mon dos vis-à-vis du pull. Je savais bien qu'ils allaient se douter de quelque chose tôt ou tard.

Léon sortit encore en doudoune pour se mettre à son plot. Il se fit appeler par le micro, puis il enleva son manteau et leva les bras. Il s'installa à son plongeoir et me lança un regard plein de fierté. Je lui rendit un sourire.

Puis le top départ sonna. Je fus si stressée que je ne vis pas la course passer. Et quand je regardais le tableau des scores, le drapeau français était affiché, et la foule française en délire. Mon Léon avait encore gagné. Ce garçon est un monstre.

Il l'a fait, il a rendu la France fière.

C'est incroyable.

Cet homme est incroyable.

Il sortait de l'eau et la foule l'applaudit. Alors que je sautais, il courrais vers moi. Il m'attrapa, me fit passer par dessus la barrière devant moi et me pris dans ses bras. J'enroulais mes jambes autour de sa taille et je vis les gens de la sécurité venir vers moi. Mais Léon leur fis un signe. Il regarda les spectateurs puis m'embrassa.

- Je l'ai fais Sirena.

- Tu as réussi.

- Je suis content de t'avoir à mes côtés pour ce genre de situation.

Puis je l'embrassa à nouveau et la foule criait de plus belle.


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Désolée ce chapitre est petit mais c'est pour poster un peu plus souvent

dans les prochains chapitre yaura un truc de pas logique physiquement parlant mais faite comme si ça existait pas s'il-vous-plaît c'est juste pour rajouter du pimenté dans l'histoire 😹

prenez soin de vous !

Le prince et la sirène - Léon Marchand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant