Chapitre 19

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Sirena.

Étant donné que le restaurant où avaient réservé les parents de Léon se trouvaient dans la banlieue de Paris, Léon avait décider de nous y enmener avec sa voiture. Ça nous changera des taxis. On était donc dans sa voiture, il pleuvait et nous étions dans les bouchons.

- Je vais prévenir mes parents que nous serons en retard, il me dit.

J'alluma la radio. Dans la toute la voiture raisonnait Il pleut à Paris de PLK.
Léon rigola suite à l'entente de cette musique, elle collait parfaitement à la situation. Je ne me lasserai jamais d'ecouter son rire.

Ma jambe tremblait.

- Tu es stressée ? me demanda le beau blond.

- Je n'ai pas encore dit à mes parents que j'étais discalifiée, d'ailleurs, encore heureux que ça ne se sache pas tout de suite dans les journaux... c'est la honte.

Il posa sa main sur ma cuisse nue. Ce geste m'apportes du réconfort.

- Ça va aller Sirena, je suis avec toi, je le serais toujours.

- Qu'en est-il de Gabriel ?

- C'est ma ami, mais je ne pourrais jamais lui pardonner je pense. Et me pardonner à moi, c'est ma faute si tout ça est arrivé.

Je posa ma main sur sa joue.

- C'est finit Léon.

Il me fixa dans les yeux et rapprocha nos visages, je rapprocha aussi le miens. Nos souffles s'emmêlaient, la température montait et le déluge tombait comme jamais. Mais avant qu'il rompe le petit espace qui nous séparait encore, je me reculait tout sourire.

- Oups, je ne compte pas perdre Léon.

Il restait ébahi, puis passa la première et avança. Pendant qu'on roulait, il avait installé une sorte de petit rituel. Après avoir passé une vitesse, il remettait toujours sa main là où elle était. Sur ma cuisse.

Ce soir, j'avais mis une robe en satin blanc, elle avait de ma dentelle dans le dos. Et je la trouvait plus que belle. C'était un cadeau d'Alice et de Marion pour mon anniversaire.

Nous étions arrivés, Léon sortait de la voiture et je remis l'attache de mes chaussures qui était partie. Alors que j'allais ouvrir la porte, elle s'ouvrait avant moi. Léon ce gentleman m'avait ouvert la porte.

- Madame, me dit-il.

Il me pris la main et nous entrons dans le restaurant. Avant même que nos parents nous aperçoivent, Oscar hurlait.

- Non ! Jure vous êtes en couple !

Toute notre table se tournait vers nous.

- Et oui, rigola Léon en posant un baiser sur ma tempe.

Il me serrait plus contre lui et je posa ma main sur son torse pour lui chuchoter.

- N'en profite pas trop non plus.

- Je veux juste faire comprendre à Gabriel que tu es à moi maintenant, il me murmura.

Nous nous asseyions l'un à côté de l'autre après avoir dit bonjour à tout le monde. J'avais pris un plat au saumon, je ne savais pas trop ce qu'il y avait dedans mais si je n'aimais pas, j'étais sure qu'Oscar serait la pour le finir.

Nos parents parlaient beaucoup avec Gabriel, de tout et de rien. De mon côté je n'osais pas trop en placer une. J'avais décider d'attendre le dessert.

On avait finit nos plats, enfin, finit est un grand mots car les frères Marchand de cessaient de piquer dans mon assiette. Le serveur arriva pour prendre les commandes. Je lui demandais une glace. Ce restaurant était très chic mais l'inconvénient était qu'il prenait beaucoup de temps pour apporter nos plats.

Le prince et la sirène - Léon Marchand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant