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Après hier j'ai décidé de prendre du recule à la situation je me laisse trop faire pas mes émotions en ce moment je suis devenue si faible. Faut que je me bouge le cul dans ce cas c'est finie. Je vais me reprendre en mains je vais recommencer à manger normalement à faire du sport et reprendre mes études d'ailleurs Mayar à pu passer ces examens elle.. quand j'étais chez Zayd.. Mais malheureusement elle les a ratée du coup elle redouble son année sa me fait mal au cœur pour elle mais elle est heureuse acr on sera ensemble car moi aussi je redouble j'étais pas présente involontairement..

Directement je me suis réveiller à 6h du matin j'ai mon petit déjeuner pusi je me suis douché et j'ai fait ma skincare et après je suis allé à la salle de sport j'ai vue que  yavais différent cours des cours de boxe de pilate et hot pilate de musculation de cardio de corde à sauter mais vue que je viens de commencer j'ai juste fait quelques machines puis je suis rentré j'ai vue Imran mais je l'ai totalement ignoré. Je préparais mon petit déjeuner. Quand imran c'est rapprocher de moi

Imran : Ibti faut qu'on parle.

Je l'ignore et tourne ma tête il attrape ma tête pour que je le regarde dans les yeux.

Moi : Qu'est ce que tu veux ? Imran ?! C'est maintenant que tu veux me parler ? Et quand j'avais besoin de toi ? T'étais où quand je voulais te parler ? Tu m'ignorais tu m'a bloqué, et puis même maintenant que je suis plus sous l'emprise de Zayd tu m'ignore encore . tu n'en a rien à foutre de moi Et je pense que je devrais faire pareille.

Son regard deviens noir c'est la première fois que je le vois comme sa.

Imran : Ah ouais ? T'es sur j'en ai rien à foutre de toi et quand t'étais en galère je t'es pas aidée quand Zayd te fessait du mal j'ai rien fait moi ? J'ai compris ibtissam je vais pas te forcer à me parler tu veux pas me parler c'était important je me voyais pas te cacher quelque chose mais tu veux pas qu'on discute casse ta race.

puis il part en furie moi je continue tranquillement ma mâtiné

IMRAN :

Je pouvais ressentir la rage monter en moi. Chaque mot qu'Ibti avait prononcé résonnait dans ma tête, alimentant un feu que je n'arrivais plus à contrôler. Comment avait-elle pu penser que je m'en foutais ? Comment pouvait-elle croire que je l'avais abandonnée, alors que j'étais prêt à tout pour elle ?

Je suis sorti de l'appartement sans un mot, déterminé à faire ce qu'il fallait. Tout le chemin jusqu'à la cité, je n'avais qu'une seule pensée en tête : Zayd allait payer pour ce qu'il lui avait fait. Deux heures de route, le temps semblait s'étirer à l'infini, mais la rage en moi ne faisait que croître.

Une fois arrivé, j'ai demandé autour de moi, les gars du coin savaient forcément où trouver Zayd. Ils m'ont dit qu'il traînait souvent chez lui, avec ses potes. C'était suffisant pour moi. J'ai pas hésité une seule seconde. J'ai foncé vers l'adresse qu'ils m'avaient donnée, mon cœur battant de plus en plus fort. Dans la voiture, j'ai ouvert la boîte à gants et j'ai sorti mon pistolet. Je n'étais pas du genre à faire ça, mais cette fois, c'était différent.

Quand je suis arrivé devant la porte, je pouvais à peine respirer. J'ai sonné, les poings serrés. Zayd est venu ouvrir, et dès que nos regards se sont croisés, j'ai vu la surprise dans ses yeux. Mais il n'a pas eu le temps de réagir. Je l'ai attrapé par le col et je lui ai pointé l'arme sur la tempe. Ses potes ont immédiatement compris que la situation était grave. Ils ont paniqué, et c'était exactement ce que je voulais. Je les ai forcés à vider leurs poches. Tous leurs billets, leurs téléphones, je les ai ramassés sans un mot, les yeux rivés sur Zayd.

La peur dans son regard ne suffisait pas à calmer la rage qui bouillonnait en moi. J'ai appuyé sur la gâchette, tirant une balle dans son épaule. Le coup de feu a résonné dans la pièce, et Zayd s'est effondré, hurlant de douleur. Mais pour moi, ce n'était qu'un bruit de fond. Sans un mot de plus, j'ai tourné les talons et j'ai quitté l'appartement, le pistolet encore chaud dans ma main.

Je suis monté dans ma voiture, mes pensées toujours en ébullition. Sur le chemin du retour, je me suis arrêté dans un magasin. Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai acheté des cadeaux pour Ibti. Peut-être pour me rappeler pourquoi j'avais fait ça. Mais en roulant vers chez moi, la réalité de ce que je venais de faire m'a frappé de plein fouet. Je me suis passé les mains sur le visage, sentant la culpabilité m'envahir. Ibti m'avait toujours demandé de ne pas agir comme ça, de ne pas répondre à la violence par la violence. Mais j'avais franchi cette ligne, et je savais que rien ne serait plus jamais pareil.

IBTI:

Je suis restée dans la cuisine, essayant de me concentrer sur mon petit déjeuner, mais mes mains tremblaient encore après la confrontation avec Imran. J'avais craché ma colère, toute la frustration accumulée ces derniers mois, et il était parti en furie. Mais malgré mes mots durs, une partie de moi s'inquiétait pour lui. Je connaissais Imran, je savais qu'il n'était pas du genre à laisser les choses en suspens.

La matinée s'est écoulée lentement. J'ai essayé de me concentrer sur mes affaires, mais l'inquiétude me rongeait. Imran n'était toujours pas rentré. Son absence devenait de plus en plus pesante, et un sentiment de malaise grandissait en moi. Je savais qu'il était capable de tout quand il se sentait trahi ou blessé, surtout quand il s'agissait de moi. Je ne pouvais m'empêcher de me demander où il était parti, ce qu'il faisait.

L'après-midi est arrivé, et toujours pas de nouvelles. J'avais essayé de l'appeler plusieurs fois, mais son téléphone allait directement sur la messagerie. J'ai commencé à tourner en rond dans l'appartement, mon cœur battant la chamade. Et si quelque chose de grave s'était passé ? Si Imran avait fait une bêtise ? Je ne pouvais plus supporter cette angoisse.

Puis, en début de soirée, j'ai entendu la porte d'entrée s'ouvrir. Mon cœur a manqué un battement. Imran était enfin rentré. Je me suis précipitée dans le salon et l'ai vu là, debout, des sacs à la main. Il avait l'air épuisé, comme s'il avait traversé l'enfer. Mais ce qui m'a le plus frappée, c'était son regard. Il avait quelque chose de sombre, de brisé.

Moi: Imran où t'étais ?

Il a évité mon regard, posant les sacs sur la table sans un mot. Je pouvais sentir une tension entre nous, quelque chose d'indicible. Je me suis approchée de lui, doucement, comme si j'avais peur qu'il s'effondre.

Moi: Qu'est-ce que t'as fait, Imran ?

Il a finalement levé les yeux vers moi, et ce que j'y ai vu m'a glacée. Il y avait de la culpabilité, une douleur profonde, mais aussi une sorte de détermination que je n'avais jamais vue chez lui.

Imran : Je suis allé régler ça, Zayd... Il ne te fera plus jamais de mal.

Je me suis figée. Les mots résonnaient dans ma tête, mais je refusais de les comprendre.

Moi :Qu'est-ce que t'as fait, Imran ?

ai-je répété, ma voix se brisant.

Il a soupiré, passant une main sur son visage, comme s'il essayait d'effacer ce qu'il venait de vivre.

Imran:C'était pour toi, Ibti.  Mais je sais que tu m'avais dit de pas faire.

Je sentais mes jambes flancher sous moi. Je me suis laissée tomber sur le canapé, le souffle coupé. Imran avait franchi la ligne, la même que je m'étais jurée de ne jamais franchir. Tout ce que j'avais redouté était devenu réalité. Mon cœur était en lambeaux. Zayd méritait peut-être ce qui lui était arrivé, mais pas comme ça. Pas par les mains d'Imran.

Il c'est mis devant moi, prenant mes mains dans les siennes, ses yeux cherchant désespérément les miens.

Imran :Je voulais te protéger, Ibti.

Je l'ai regardé, et malgré la colère, malgré la tristesse, je voyais aussi la douleur dans ses yeux. Il avait agi par amour, un amour mal dirigé, un amour qui avait franchi des limites qu'on ne pouvait plus effacer. Je ne savais pas si je pourrais lui pardonner, mais au fond de moi, je savais que je ne pouvais pas non plus l'abandonner. Pas maintenant, pas après ce qu'il avait fait, même si c'était une erreur.

Moi:Imran, je... je peux pas te détester. Et je sais pas si je peux t'aimer..

Il a serré mes mains un peu plus fort, hochant lentement la tête.

Imran :Je sais, Ibti. Je sais. Tu pourra enfin être libre... Libre de nous deux.

Je n'avais pas vraiment compris sa dernière phrase mais je me suis effondré sur le canapé en pleurant.

Ibtissam : Mon amour Tragique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant