Le lendemain je me réveille encore bouleversé par les événements d'hier imran avait vraiment salit ces mains par amour ? J'avais besoin de conseil alors je suis partie voir Mayar je lui ai tout raconter.
Mayar : Tu devrais vraiment t'éloigner autant de Zayd que de imran il sont entrain de te bousillé le mentale ibtissam tu t'en rend pas compte la ibtissam que j'ai connue elle me manque...
Je l'ai enlacé dans mes bras et elle s'est mise à pleuré c'était je pense la 1er fois que je voyais Mayar pleurer devant moi.
Moi : Oui je sais Mayar mais c'est dure.. tu pense que je peux emménager chez toi ?
Mayar : Bien sur ibti on verra dans la semaine Inch'Allah.
Après sa Mayar ma proposé une journée shopping sans prise de tête j'ai accepter. On est partie dans un centre commercial faire les magasins kiko, sephora, action, otacos (j'ai pas changer mes habitudes de bagra malgré tout), Après on c'est promener dans des boutiques indépendante on a pris plein de robe et ensemble.
Après cette journée de shopping, je me sentais un peu mieux. Mayar avait raison, ça m'avait fait du bien de m'éloigner des problèmes, même si ce n'était que pour quelques heures. Mais dès que nous sommes rentrées à la maison, la réalité m'a rattrapée.
En franchissant le seuil de la porte, mon téléphone a vibré. Un message. Mon cœur s'est serré en voyant le nom de Zayd apparaître sur l'écran. Comment avait-il trouvé mon numéro ?
Zayd : Je t'ai trouvée, Ibtissam. On doit se voir, tu ne peux pas m'éviter éternellement mais si tu préfère que je vienne à toi je peux tout aussi.
Le souffle coupé, j'ai immédiatement senti la panique monter en moi. Zayd m'avait déjà séquestrée une fois, et maintenant, comment se fait il qu'il a encore la force de m'écrire alors que imran avait tenté de le... il savait comment me joindre en plus ! .
L'idée qu'il puisse être encore une menace me paralysait. Je ne pouvais plus rester là sans rien faire. Tremblante, j'ai montré le message à Mayar.
Mayar : Non, non, Ibti. Il ne faut pas que tu répondes. Bloque-le tout de suite c'est un piège.
J'ai obéi sans réfléchir, bloquant son numéro d'un geste rapide. Mais cela ne suffisait pas à calmer ma peur. Il fallait que je me protège, que je mette de la distance entre moi et cette situation devenue incontrôlable.
Moi : Mayar, je ne peux pas attendre une semaine. Je dois m'éloigner tout de suite. Je ne veux plus rester ici, je me sens en danger. Il vient très clairement de dire qu'il peut venir à moi !
Mayar a hoché la tête, comprenant l'urgence de la situation.
Mayar : D'accord, Ibti. On va s'arranger. Tu restes ici, avec moi. Je ne te laisserai pas seule, je te le promets.
C'était un soulagement d'entendre ces mots, mais l'inquiétude persistait. Dans cette maison, il y avait Selma, qui ne m'avait jamais supportée, et Safaa, qui a eu des comportements de méchanceté excessive envers moi . Et bien sûr, il y avait Imran, dont les sentiments m'embrouillaient encore plus l'esprit.
J'ai décidé de rester sur mes gardes. Malgré la gentillesse de Mayar, je savais que je devais être prudente. Le moindre faux pas pourrait me coûter cher. Le soir venu, je me suis enfermée dans ma chambre, épuisée par toutes ces émotions. Mais une nouvelle notification est apparue sur mon téléphone, cette fois d'un numéro inconnu.
Message inconnu : Tu penses vraiment pouvoir m'échapper, Ibtissam ? On se reverra bientôt.
C'était la goutte de trop. La peur m'a envahie complètement, je me sentais piégée. J'avais besoin d'aide, mais à qui pouvais-je faire confiance dans cette maison ? À pars Mayar ?
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Ibtissam : Mon amour Tragique
Action.. souffrance et rien que souffrance quand est ce que j'aurai droit au bonheur ?