~Tu porte se fardeau qui te pèse,
Tu as même dû abandonner tes rêves,
détruire ta vie à été le prix à payer
pour pouvoir protéger ceux que tu as aimé,
Moi je porte une mission et une vie passé, tu as tellement souffert,
Alors je veut te sortir de...
Je me réveillais lentement de mon sommeil, et la première chose que je vis était les néons sur le plafond. Je refermais les yeux aussitôt, éblouis par la lumière, j'avais remué mes yeux avec mes doigts afin de m'habituer à la lumière. La seconde d'après j'apercevait mes avants bras perfusés et panser. Je tentais de me redresser, mais une vive douleur au niveau de mes bras m'avait aussitôt plaqué sur le lit.
- Arg ! Putain ! Jurais-je.
- Maya ?! T'es enfin réveillée ?!
Constatant l'état de mes corps bandés et endolori, je n'avais point remarqué que quelqu'un était là.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je relevais la tête et je vis Genma , qui s'était endormi à mon chevet.
- GENMA ?! Mon Dieu !!!! M'écriais-je.
Et comme si plus rien ne comptais, je ne pus m'empêcher de lui sauter dans les bras, malgré la douleur dans mon corps et mes bras. Ses cheveux mi-long bruns de part et d'autre de son visage, son regard noisette. J'appréciais ce moment de retrouvailles, le serrant dans mes bras et en fermant les yeux.
-Si tu savais ! J'ai eu tellement peur, je crois que j'ai fait un cauchemar, c'était tellement réel, je faisais comme un cauchemar lucide. Et tu t'étais interposé entre moi et une attaque d'un ninja de Suna, et-et... Sanglotais-je.
- Maya... Calme-toi s'il te plaît.
- Tu agonisais dans mes bras, tu ne respirais plus. J'ai eu tellement peur que ce soit vrai. Tremblais-je.
- Maya...
- Et le Hokage était mort en même temps que toi. C'était comme un coup de massue, je te touchais et tu étais si froid... Fis-je en resserrant encore plus mon étreinte.
- Maya... Regarde-moi...
- Mais heureusement, tout est faux parce que tu es là... près de moi... Comme tu l'as toujours été merci... Finissais-je la voix étouffée par les larmes et le chagrin.
