Là où tout a commencé...

Quotidienne 15

⚠️️ Avant de commencer ⚠️ :

Coucou vous ! Je suis de retour de vacances prête à reprendre mes chapitres de cette histoire.

Je voudrais juste vous prévenir qu'à partir de maintenant, avec la rentrée qui arrive etc, ça me donnera moins de temps pour écrire. Je ne posterai qu'un chapitre par semaine : le samedi.

J'ai quelques chapitres d'écrits à l'avance mais préfère vous en poster un par semaine pour être sûr d'avoir plus de temps pour écrire les autres.

Sur ce, je vous laisse profiter de ce chapitre, bonne lecture <3

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Dimanche 19 novembre 2023

2h03

Le moteur du bus s'arrêta, me réveillant gentillement. Je compris que nous venions d'arriver au château.

Djébril : We are back !

Je m'etirai, comme chaque fois après un long trajet, et descendis du bus suivit de mon Djébril. Alors que je m'apprêtais à descendre la dernière marche du bus, Axel m'attendait à la sortie pour faire son gentleman. Il me tendit sa main pour m'aider à descendre la marche.

Je souris en prenant sa main et une fois les pieds au sol, il passa son bras autour de mes épaules avant de m'embrasser le haut du crâne.

Axel : Je suis soulagé que tu sois revenue.

Je lui répondis en posant ma tête sur son épaule et nous rentrâmes au château, affamés. Comme au prime précédent, un grand buffet était installé sur la table.

Avec Héléna, on se jeta comme la semaine dernière sur les sushis et n'en firent qu'une bouchée.

Pierre sautilla dans tous les sens, il avait l'air vraiment de bonne humeur ce soir.

Djébril : Regardez-le comment il est trop content lui, dit-il en désignant Pierre.

Les autres riaient en observant Pierre sautiller autour de Victorien, euphorique, avant de le prendre dans ses bras.

Je pense qu'il était vraiment soulagé que Victorien soit de retour parmi nous.

Ensuite, voyant que j'étais assise à la table, il courut vers moi et me fit un énorme câlin dans le dos me faisant automatiquement sourire. Il enfouit sa tête dans ma clavicule et je le sentis sourire contre moi.

Je levai ma main pour prendre la sienne dans la mienne, ses bras toujours enroulés autour de moi. Sentant qu'il me regardait, je relevai ma tête vers lui.

Erreur.

Nos visages se retrouvaient à quelques centimètres l'un de l'autre nous faisant rire de gêne. Mais cela ne l'empêcha pas de reprendre son étreinte ne voulant visiblement pas se défaire de moi. Et évidemment, ça ne me déplaisait pas. Loin de là...

M-M : J'ai juré vous êtes trop mignons ensemble.

Cette fois, je n'eus pas la force de rétorquer et me mis même à sourire.

Putain, c'est quoi mon problème ? Pourquoi je souris ? Sa remarque ne devrait pas me faire plaisir.

En même temps, c'est lui qui est en couple. C'est lui qui devrait riposter.

Mais il ne le fit pas et enfouit une nouvelle fois sa tête dans le creux de mon cou.

Tout en mangeant, on commença à discuter du prime et Pierre se retira de moi pour aller s'installer plus loin à la table.