Chapitre 37

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⚠️ scène qui peuvent heurter le jeune publique. Vous pouvez passer jusqu'aux prochain ⚠️ cela ne changera rien à la compréhension de l'histoire.

PDV Margaux

Il sait l'effet qu'il a sur moi, le faite que j'ai du mal à me contenir devant lui est un avantage qui ne m'aide pas. Il m'a fais un suçon, je vais aller plus vite que ça. Mes mains se baladent sur son corps. De ses abdos, ses épaules, son dos et j'arrive à ses hanches. Je relève la tête et le regarde dans les yeux. Quand il a compris mon intention son visage m'indique qu'il ne pensait pas que j'irai jusque là. Mes mains descendent sur ses fesses puis reviennent sur la bosse qui se forme dans son pantalon. Je caresse lentement cette partie puis je dirige mes mains vers sa braguette. Ses mains s'accrochent un peu plus fort sur mes hanches et sa tête part en arrière.

- dit moi. Tu abandonnes ou je continue ? Ici, devant tout le monde.

- jamais je n'abandonnerai.

- très bien. Mon sourire s'élargit et je continue ce que j'ai commencé.

Je descends sa braguette et m'approche un peu plus de lui. Toujours mes mains entre nous. Je continue de le caresser à travers son sous vêtements.

- Margaux...

- oui ?

- arrête ça, ça va mal finir.

- tu abandonnes alors ?!

- oui, oui c'est bon.

- cool ! J'ai gagner ! Je dépose un chaste baiser sur ses lèvres, remonte sa braguette et me dirige vers Pierre.

Quand j'arrive à leur table je voie Pierre avec un grand sourire, il me demande de m'approcher de lui.

- tu sais que vous êtes pas discrets ?

- ah bon ? Tempis, j'ai gagner. Je sourie de toutes mes dents.

Pierre rit, et des mains se posent sur mes hanches.

- les gars vous nous excuser mais on est fatigué, on va aller dormir.

- quoi ?! Mais je veux pas dormir moi. Je me retourne vers Lewis.

- bah moi si alors on y va. Il approche ses lèvre de mon oreille. Moi non plus je ne veux pas dormir, mais pour ça il faut que tu sois coopérative.

Un sourire se dessine sur mes lèvres, je crois que les deux bières plus les shots de vodka sont lourd à présent. Je me retourne vers les garçons.

- finalement je suis très très très fatigué, on va rentrer.

On sort de la boîte de nuit, Lewis s'arrête et me met en face de lui.

- tu as beaucoup bu ?

- nan ça vaaaa, je me rapproche de lui, mais par contre j'ai très envie là.

- sur ?

- chepa, je vais peut être changer d'avis si tu te décide pas.

- ok, ok, aller on y va.

Nous montons dans la voiture.

Je ferme la porte de la chambre à Lewis, il m'attrape le bras et me met face à lui. Il m'embrasse, pose ses mains sur mes hanches. Puis il remonte ma robe.

- stop, c'est moi qui mène la danse ce soir. Je le regarde avec un sourire malicieux.

Ma confidence le fais rire, mais je le coupe dans son élan rapidement, j'attrape le bas de son t-shirt et lui enlève avec fougue. Je tire sur sa chêne pour coller ses lèvres aux miennes. Il continue à lever ma robe sans perdre une miette de mon corps. Mes baisers descendent, je passe sur son coup. Il m'élève ma robe puis m'attrape et me dépose sur le lit. Je reprends mon ascension en passent sur ses pectoraux, ses abdos. J'arrive enfin à la lisière de son pantalon. Je relève la tête pour l'observer. Il gémis doucement. Mes doigts passent également sur ses abdos et viennent détacher le bouton de son pantalon. Je l'entends grogner a mon touché. Une fois son pantalon éliminé je remonte à sa bouche. L'embrasse encore et encore.

- je vais te faire chavirer.

- actuellement, je n'en ai pas le moindre doute... crois moi.

Je reviens au point sensible de mon homme, j'attrape l'élastique de son boxer et joue un peu avec. Je veux le pousser à bout, je veux qu'il me supplie. Je dépose pleins de baisers humides à la jonction. Puis je le retire vivement. Je continue mes baisers.

- Margaux...

- hum ?

Je l'es assez fais attendre à mon goût. J'attrape alors la base de son intimité avec mes mains et commence les vas et viens lents. J'arrête soudainement mes vas et viens et l'enfoui dans ma bouche pour le surprendre. Bien sûr ça fonctionne. Il jouit. Une fois cela terminé je remonte à sa bouche.

- a moi maintenant.

Lew ouvre le tiroir de la table de nuit. Il y sort une capote qu'il enfile sur son sex. La seconde d'après je me retrouve sans sous-vêtements sans l'avoir remarqué. Il se lève et me tire avec lui. Il fini par me porter en mettant ses mains sous mes fesses, j'enroule mes jambes autour de ses hanches. Il met sa tête dans mon coup et me pénètre doucement. Puis il commence les vas et viens. Il accompagne ses mouvements de baisers dans le coups. Je me sens partir au septième ciel. Il fait tout ce qui peut me faire dérailler. Mes jambes deviennent coton et mon corps transpirent se ressert autour de lui. Nous atteignons l'orgasme en même temps. Je desserre mes jambes et il me repose au sol.

J'entre dans la douche. Lewis me rejoint rapidement. Une fois fini j'enfile un pyjama et me glisse dans les draps. Mon homme avec moi, qui me sert contre lui.

⚠️

Monaco - 2 août 2022 - 12h

Nous venons de descendre du jet de Lewis, nous avons fais un vol de nuit. Hier nous avons profité de notre dernière journée en Hongrie, on a visité un peu Budapest puis on a fais nos valises. On a pris l'avion vers 11h20, 24h de vol ce n'est pas rien. Nous sommes rentrés à Monaco pour la pause estivale. Je devais rentré chez mon père mais Lewis m'a demandé de venir avec lui. J'ai alors consulté mon père pour savoir si il pouvait garder Red un peu plus et il a accepté. Mais si mon chien me manque je dois avouer que passer cette pause avec mon petit ami me rend heureuse. On déambule dans le couloir de l'aéroport. Dans le hall d'entrée nous retrouvons Lando, Charle et Charlotte.

- Hey, comment ça va ? Je la serre dans mes bras. Enfin un peu de féminité pour m'accompagner.

- Je suis contente de te voir Margaux. On m'a beaucoup parlé de toi. La brune jette un coup d'œil vers Charles.

- Positivement j'espère ?

- Bien sûr !

- Tant mieux, on va passé de super vacances entre filles.

- Je vais mettre une perruque pour venir avec vous.

- Non Lando, les filles ne porte pas de caleçon.

- Alors ça je peux rien y faire, désolé.

Nous éclatons tous de rire après cette conversation qui n'a aucun sens.

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