Vous savez ce qu'on peut penser après avoir été heureux ? Dire "al hamdoulilah". À vous qui lisez ça, goûtez-y !
Comment vous le dire ? Le titre peut prêter à confusion, c'est vrai que j'y ai goûté, enfin je pense que c'était ça. Comme dans mon passé, celui que peu de gens connaissent. En parlant de connaissance, vous vous rappelez de mes "frères" ? Non, pas mes frères d'enfances, eux seront toujours là. Je parle de simples amis de lycée qui ont pris l'initiative de juger ma vie. J'écris quand j'ai mal, quand je suis heureux, amoureux, ou même rempli de haine. Comment justifier le sentiment que je ressens ? Le rappel profite au croyant, mais comment leur rappeler que juger une personne qui s'est repentie, c'est haram ? Comment leur dire que je suis rempli de haine quand je les vois ? Les masques, je vais devoir en remettre un...
Un petit peu d'histoire d'un enfant que je connais ne fera pas de mal... Un jour, un jeune enfant arriva dans une classe où il ne connaissait presque personne. Son envie : se faire de nouveaux amis. Malheureusement, il n'y avait pas beaucoup de musulmans dans sa classe... Encore une année où il allait s'éloigner de la religion. Toujours avec sa plume, et oui, il aimait écrire, même après tout ça. Il se disait souvent : "Avant de gagner, il faut essayer". L'année avançait, il fit de nouvelles rencontres, un groupe d'amis qu'il était forcé de fréquenter, car il ne voulait pas rester tout seul. Ils insultaient sa religion, se moquaient de lui, mais il n'a jamais rien dit... du moins, pour l'instant.
Tout seul, le soir, il se disait : "C'est donc ça, le respect." Abandonné par tous, il devait surmonter cette épreuve seul. Il décida de mettre un masque, le masque de la honte. Ce masque, il l'utilisait pour montrer qu'il était heureux avec eux, alors qu'en réalité, il ne l'était pas. Il se persuadait lui-même que c'était lui le problème, à toujours se dire que c'était de sa faute. Il s'est perdu. En vérité, il était désespéré de cette vie et de ce monde. Avec sa réflexion hors norme, il décida de ne rien faire, car pour lui, sa vie pouvait s'arrêter là. Destiné à souffrir, il pensait être seul. Mais il s'est relevé, il a tout arrêté et s'est éloigné de ce groupe d'amis, leur pointant du doigt leurs défauts. Ils n'avaient pas accepté que le petit avait grandi et qu'il avait brisé son masque.
Cette histoire reflète un peu ma situation. Remettre le masque ? Mentir sur ce que je ressens ? En vrai, je ne sais pas. Je ne sais pas ce que je dois faire, je m'en fous un peu. Laissez-moi vivre, non ? Pourquoi ne voulez-vous pas ? Dites-moi !
On écrit sur le bonheur qui se cache dans les rires des enfants, dans les discussions autour d'un repas partagé, dans le calme d'un soir d'été. Il n'a pas besoin d'être grandiose pour être sincère. C'est un sentiment de plénitude, d'équilibre, une sensation que tout est à sa place, même pour un instant. La plume le ressent, ce bonheur simple, cet état où l'on se sent pleinement vivant, pleinement présent. Mais la plume sait aussi que le bonheur est parfois fragile. Il peut s'échapper dès qu'on essaie de le saisir. C'est comme un papillon qui danse autour de nous, beau et léger, mais difficile à attraper. Elle l'écrit avec délicatesse, pour ne pas briser cette magie. Car le bonheur n'est pas fait pour être possédé, il est fait pour être vécu, à chaque instant, avec une attention particulière, comme un souffle doux qui nous traverse.La plume se pose sur l'idée que le bonheur, souvent, se trouve là où on ne l'attend pas. Il n'est pas dans les grandes réussites ou les possessions matérielles, mais dans ces moments où l'on se sent aligné avec soi-même, avec les autres, et avec le monde qui nous entoure. C'est un état d'harmonie, de paix intérieure, que l'on atteint parfois sans même s'en rendre compte.
En écrivant, la plume semble comprendre que le bonheur n'est pas une destination, mais un chemin. Un chemin fait de hauts et de bas, de jours ensoleillés et de tempêtes, mais où chaque pas compte. Il est dans l'effort que l'on fait pour être en paix avec soi-même, pour trouver de la joie dans ce que l'on a déjà, et pour apprécier les petites choses qui nous entourent.
Le bonheur, écrit la plume, est une mosaïque de moments, une collection de petites joies, de sourires, de silences partagés. Il est fragile, certes, mais précieux. Et c'est en sachant l'apprécier dans sa simplicité que l'on découvre qu'il était là, tout le long, attendant patiemment que l'on ouvre les yeux pour le voir.
Il faut être conscient que le bonheur ne se résume pas à des mots, mais qu'il se vit, tout simplement, dans le souffle même de la vie.
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L'art du secret
RandomLe titre, L'Art du Secret, incarne parfaitement l'essence de l'ouvrage. Tout au long de ses pages, les secrets qu'ils soient de cœur, de mémoire ou d'esprit se dévoilent doucement, comme des murmures longtemps retenus qui finissent par trouver leur...