L'amour peut être magnifique mais dans ses pires moment il peut nous emmener à éprouvé de la tristesse, beaucoup de tristesse, c'est pourquoi je vais raconter, à travers cette histoire, la vie de Luna et de Edward, qui sont 2 personnages fictifs, à...
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Arriver dans la cuisine, je vois que le repas a été minutieusement préparé, en effet, j'y aperçois quelques petits toasts, différents légumes bien présentés, un beau rôti de bœuf au thym, des gâteaux par ci par là, le tout, servis sur une table dressé d'une magnifique nappe blanche avec des verres en cristal dont j'ignorais l'existence. Mais pourquoi avoir fait autant d'efforts pour ce déjeuner qui n'a pourtant rien de spécial ? Serait-ce car nous repartons dans le Sud-Ouest et pour nous souhaiter une sorte de bonne chance au lycée demain après-midi ?
Nous nous installons côte à côte et nous prenons quelques petits toasts, un morceau de rôti et de la salade. Nous mangeons léger comparé à tout ce que le repas contient. Nous mangeons dans le silence le plus total jusqu'au moment du dessert où mon grand-père débute la conversation :
- Alors, ça va ? Vous ne redoutez pas trop le retour au lycée ?
- Ça va, on ne doit pas se dégonfler et si on veut leur montrer que nous sommes fort, ce qu'il faut, c'est bien retourner au lycée et les affronter. Répond mon petit copain.
- Tu as raison Edward, c'est vrai. En tout cas, j'espère que vous vous en sortirez les enfants ! Je crois en vous !
- Merci Papy. Et merci pour ce repas délicieux, mais vous n'auriez pas dû en faire autant. Il va rester de la nourriture en plus.
- Mais c'est normal ma petite, vous le méritez. C'est pour vous donnez du courage pour demain après-midi !
- Merci quand même. On répond, moi et Edward, en même temps.
Après avoir manger le gâteau, moi et Edward remontons dans la chambre. Il est 13h, notre train est à 16h pour une arrivée vers 1h du matin. Nous avons donc un peu près 2h30 avant de prendre la route vers la gare qui se trouve à dix minutes à pied.
On s'allonge dans mon lit, ma tête sur son torse, sa main me caressant tendrement les cheveux. On ne parle pas, on savoure juste ce moment de tendresse. Je me redresse et je lui embrasse le bout du nez. Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'il m'embrasse. Nos lèvres bougent à l'unisson, sa langue caresse la mienne avec tendresse. C'est un baiser rempli d'amour. Mes mains se baladent sur son torse et descendent instinctivement vers la ceinture de son pantalon. Il se tend et je défais sa ceinture, et son pantalon se retrouve à terre. Puis vient le tour de son tee-shirt. Sans attendre, mon débardeur et ma jupe se retrouve également à terre. Il ne nous reste plus que nos sous-vêtements.
J'embrasse son cou, ses épaules, je lui mordille le lobe de l'oreille et un râle sort de sa bouche. Tandis que ses mains sont sur ma poitrine, ma bouche est sur son torse que je parcours de mes baisers. Je sens que ses muscles se tendent de plus en plus et je sens aussi une bosse en-dessous de son boxer. C'est fou l'effet que je lui fais !
Ses doigts écartent l'élastique de ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes avant qu'elle vole dans la pièce. Je me charge de dégrafer mon soutien-gorge quand ses doigts explore mon intimité. Ses deux doigts font de léger vas et viens, puis il accélère et un gémissement est obligé de sortir de ma bouche. Juste avant que j'atteins le septième ciel, il s'arrête et enlève son boxer. Il prend un préservatif que je lui arrache des mains car je compte bien le lui mettre. A ma grande surprise, j'arrive à le mettre sans trop de problème.
Il se met au-dessus de moi, et il me pénètre en un coup. Mes jambes s'enroulent autour de sa taille. Ma respiration se fait saccadé, ses mouvements sont de plus en plus rapide et je vois des goutes de sueur perlées sur son front. Il m'embrasse et je finis par atteindre l'orgasme suivis de près par le sien.
On s'écroule l'un sur l'autre, et nous nous reposons ainsi côte à côte pendant un temps qui me semble infini mais qui malheureusement a une fin. Mon téléphone sonne. J'avais oublié que j'avais mis une sonnerie à 14h pour nous rappeler que le train était dans deux heures. Je maudis cette sonnerie ! Je prend mon téléphone et j'arrête cette sonnerie criarde. On se rhabille mais après nous restons dans les bras l'un de l'autre.
- Je t'aime mon amour. Finis-je par dire.
- Je t'aime aussi bébé. Et il m'embrasse.
C'est la première fois qu'il m'appelle ainsi. En entendant ce surnom là, je fond littéralement. Il est tellement attentionné avec moi. Je suis amoureuse de lui comme je n'aurais jamais pensé l'être.
Après une bonne heure à parler de tout et de rien. On commence a se préparer. Il est 15h10 et on doit être à la gare au moins vingt minutes avant. On se change rapidement, on met nos chaussures et après des au revoir pleins d'émotions envers mes grands-parents, on quitte la maison et on se dirige vers la gare.
Ça fait au moins dix minutes que l'on marche, main dans la main, et nous arrivons enfin à notre destination.
Nous allons à l'accueil pour montrer nos billets et nous attendons que le train arrive.
Une fois que le transport est là, nous montons à l'intérieur. On s'installe et c'est parti pour plus de huit heures de route.
Je pose ma tête sur l'épaule d'Edward et je ferme les yeux. C'est seulement quand Edward me secoue doucement que je me rend compte que je me suis endormie.
- Hey Bella, on est arrivé. Tu t'es endormie.
- Désolée de m'être endormi, à cause de cela nous n'avons pas pu parler.
- Ce n'est rien ma chérie, ne t'inquiète pas. Je t'aime.
Il m'embrasse et nous sortons. Nous retrouvons mes parents dehors. Ils se sont levés si tôt exprès pour venir nous chercher.
On monte dans leur 4 x 4 et nous prenons le trajet vers chez moi. Edward dormira chez moi, je n'ai pas envie que ses parents lui posent des questions.
Après quelques minutes de trajet, on arrive et nous disons bonne nuit à mes parents avant de nous précipiter vers la chambre pour dormir. Le trajet a été épuisant et tout a l'heure, on sera au lycée alors autant se reposer un peu. Le lycée a été prévenu que nous serons là-bas vers 13-14h.
- Mon amour, je dois t'avouer que j'ai un peu peur de retourner au lycée... Et si on arrive pas à leur faire face ?
- On y arrivera ma Bella d'amour, ne t'en fais pas. Je te le promets, et je serais là pour te protéger.
- Merci. Je t'aime.
- Je t'aime aussi.
On s'embrasse dans un long baiser et on s'endort dans les bras de l'autre.
Le réveil sonne à 11h. Le réveil est compliqué, j'ai encore sommeil et je crois qu'Edward aussi. Après un baiser, je pars me doucher. Je m'habille d'un jean bleu clair et d'un pull en laine blanc. Je met mes cheveux en queue de cheval haute, une petite touche de mascara et je suis prête à aller affronter le lycée. Je vais dans la cuisine pour préparer notre repas à moi et Edward, pendant qu'il se douche. Quand il descend, je remarque que mon père lui a laissé des habits. Une joli chemise bleu qui lui va à merveille et qui laisse apparaître ses muscles dessinés, avec un jean noir qui va très bien avec la chemise. Il s'approche de moi, il enroule son bras autour de ma taille avant de coller ses lèvres aux miennes.
- Bonjour ma belle.
- Bonjour mon cœur.
- Pas trop stressé ?
- Un peu quand même, et toi ?
- Un peu, mais je sais qu'à deux on est plus fort et que l'on s'en sortira.
- Tu as raison !
On mange tranquillement avant de mettre notre manteau et nos chaussures pour se diriger vers le lycée.
Nous marchons et nous arrivons enfin vers ce lieu rempli d'horribles souvenirs. Ce bâtiment au mur noir et blanc que je ne veux plus franchir...
