The other side

9: le héro

Nous étions chez Derek Hale quand ma mère m'appela:

'conversation téléphonique'

" - Diana, ton père vient d'appeler, le lycée est fermé aujourd'hui et tu n'es pas à la maison, où es-tu ?

- Je suis chez... une amie, pour réviser, tu sais je t'avais parler des contrôles semestriels..mentis-je à ma mère."

Je n'aimais pas mentir à ma mère mais parfois, il le fallait. Elle comprendrait, j'en suis sûre.

Je retournai vers mes amis. Lydia me regarda avec un sourire désolée. Nous étions assis sur le divan de Derek. Stiles et Scott discutaient avec Derek et Peter à propos de Malia et de sa mère. Quant à Kira, elle observait une Malia enchaînée à l'escalier. Elle grognait et tirai sur ses chaînes mais à chaque coup, elle recevait une décharge électrique, non mortelle, mais efficace. Ça me faisait du mal de la voir comme ça. Lydia se leva et rejoignit Kira pour l'observer. Moi je ne pouvais pas, je ne pouvais plus supporter ses grognement et ses cris. Je sortis donc prendre l'air dehors. Le soleil était au zénith, il devait être vers midi, mon estomac me fît signe qu'il avait faim. Je prévint tout le monde que j'allais chercher à manger au fast food en bas de la rue. Stiles proposa son aide que j'acceptai avec un sourire. Après avoir pris les commande de tout le monde, nous sommes remonté à l'appartement.

Dans l'après midi, l'ambiance semblait tendue entre Scott et Kira, il n'arrêtaient pas de se disputé quand à la façon de retenir Malia. Elle n'aimait pas voir son amie souffrir. Elle avait alors tenter de la délivrée et s'était attirée les foudres de tout le monde. Lydia l'emmena prendre l'air quelques heures. Scott ne savait plus comment gérer la situation. D'un côté il voulait empêcher Malia de souffrir mais de l'autre il voulait protéger ses amis de ses griffes. Comment pouvait on lui reprocher ? Il partit à son tour prendre l'air. Peter avait sortit un ordinateur portable et faisait des recherches sur les symptômes de la coyote. Derek gardait un oeil sur elle. Stiles vint à moi.

" Tu veux que je te ramène chez toi ? demanda t-il

-Oui, je veux bien, répondis-je"

Une fois dans la Jeep de Stiles, je me sentais mieux, mais les grognement et hurlement de Malia résonnaient dans ma tête. J'avais le sentiment que c'était de ma faute si elle était comme ça. J'en fît part à Stiles.

" Mais non, tu sais, même si tu n'avais pas été là, ces symptôme d'envie de meurtre se seraient quand même révélés. T'en fais pas Diana.

- Comment tu fais Stiles, pour resté impassible à tout ça ? Comment tu fais pour ne pas avoir envie de t'échapper à chaque instant de tout ça ?

- Crois moi, des fois je voudrais vraiment, mais je me dis qu'au fond, c'est ça ma vie. Tu sais quand j'étais possédé par le Nogitsune je n'étais peut être que l'enveloppe de se démon, mais je me souviens de chaque victime que j'ai faite, je me souviens d'avoir tué des gens innocents, et tu sais quoi ? Je me souviens que j'aimais ça ! Cria t-il, hors de lui. Imagine comment tu te sentirais si tu devais regarder ton meilleur ami dans les yeux tout les jours, alors que tu as tué sa petite amie, la seule qu'il ai aimé comme jamais il avait aimé ? Imagine, Diana, comment tu te sentirais ?"

Je ne répondis pas, j'avais les larmes aux yeux. Stiles s'arrêta chez lui. Nous sommes resté quelques minutes dans la Jeep, le temps de se remettre de nos émotions. Stiles tremblait de tout son corps. Je lui pris la main, par réflexe et tentait de le calmer. Il ne cessait de répéter qu'il ne pouvait pas aidé ses amis comme il aimerait. Il aimerait être aussi fort que Scott, pouvoir sauver ses amis du danger qu'ils court. Il ne supportait pas d'être faible.

"- Quand Scott à sauvé Lydia à l'hôpital, je me sentais soulager, mais fou de rage aussi, parce que j'aurai voulu être celui qui l'aurait sauvé ! me confia t-il.

- On m'a raconté que tu avais souvent sauvé des vies, Stiles. Tu n'as peut être pas la force de Scott, mais tu as une intelligence hors paire ! Tu as un instinct incroyable et une imagination grandiose. Tu ne peux pas te permettre de ne pas aimé qui tu es Stiles. Tu es un héro.

- Qui t'as dis ça ? demanda t-il en riant faussement.

- Lydia.

Il me regarda, ses yeux s'étaient illuminés. On aurait dit que je venais de lui annoncé qu'il avait gagné le jackpot.

- Elle.. elle a dit ça ? vraiment ?

- Oui, riais-je, une fois quand je lui ai demandé comment elle te percevait. Elle m'a répondu je cite : " Stiles à toujours été là pour moi, c'est un héro."

Stiles lança un cris de joie. Une petite danse et il n'avait jamais eu l'air aussi heureux.