Chapitre 44

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Dans la peau d'Aïda:

Je me réveille, prend mon petit déjeuner avant de rejoindre Dieynaba dans la cuisine c'est elle qui cuisine.

Moi: hum ça sent bon, tu cuisines quoi ?

Elle: du thiebou diaga ( riz au poisson rouge avec la sauce boulette)

Moi: le plat préféré de Babacar

Elle: oui il compte manger là. Ils sont partis à la réunion.

Moi: ah d'accord dis-je en pensant à Seydou qui est actuellement là.

Je bois mon jus et observe Dieynaba , mon cousin a de la chance de l'avoir dans sa vie. Elle est tellement belle de l'extérieur tout comme de l'intérieur, la preuve elle s'est disputée avec son frère pour moi alors que je ne suis que son amie , elle pouvait être du côté de son frère. Elle s'occupe tellement bien de Karim , grâce à elle il a beaucoup changé. Il est à fond dans la prière maintenant machallah.

Moi: Pourquoi cuisines-tu alors que le personnel est là ?

Dieynaba : Je préfère cuisiner pour mon mari . Je vous conseille de faire pareille surtout toi quand tu te marieras in cha Allah. Mon mari est habitué à ma cuisine maintenant et il n'aime pas quand c'est trop épicé.

Moi : C'est vrai qu'il se plaint tout le temps quand il mange ailleurs.

Dieynaba : il faut tout faire pour être indispensable dans la vie de ton homme . Karim par exemple si je ne lui sors pas sa tenue le matin , il stresse. Il ne peut plus s'habiller seul et c'est un plus.

Moi: Quand je me marierai dans cinq ans in cha Allah , tu me donneras des cours. Je peux t'aider ?

Elle: cinq ans c'est beaucoup. Je te donnerai des cours avec plaisir . Ne te fatigue pas...

Moi: j'insiste

Après elle me laisse faire la sauce du riz. En y repensant je suis nulle en cuisine. Je ne peux pas faire un plat sans assistance. J'ai été éduqué comme une princesse. Je ne voyais pas l'importance de savoir cuisiner les plats sénégalais .

...

On a finit de cuisiner et Soukeye est venue à la maison. Elle est tout le temps ici au plus grand mécontentement de Babacar.

Dieynaba avait porté une jolie taille basse.

Soukeye: sa taille basse bakhna, beug na li mane madame Aïdara ( tu as une jolie taille basse, j'aime ça madame Aïdara).

Dieynaba: merci beaucoup madame Diouf

Aïda: toute belle et tu sens bon

Soukeye: yekal niou agne nack legui 15 h diot ( sers le déjeuner, il est bientôt 15h)

Dieynaba: Tu es folle toi. On ne mange pas sans mon mari. C'est le plat préféré de Babacar en plus.

Soukeye: tu aimes trop ton mari.

Moi: comme toi

Soukeye: bah oui. Il est beau, il est gentil et il donne de l'argent. Pourquoi ne pas l'aimer. Il est grave en plus.

Moi: excuse nous

Soukeye: vous êtes pardonnés

Dieynaba: ces temps-ci tu aimes trop parler de nourriture. Hum on en reparle après.

Soukeye: Je sais ce que tu crois . Biroumeu dh dameu ley avertir reck ( je ne suis pas enceinte , je te préviens au cas où)

Moi: Qui l'a dit le médecin ?

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