Un amour impossible 2. (Terminé)

Chapitre 21

Pressentant que quelque chose allait dégénéré. Leon se retira délicatement du lit et fila vers l'armoire pour mettre un t-shirt. Si Violetta le trouvait en boxer, elle se poserait des questions et croirait surtout qu'il a profiter d'elle pendant son sommeil. Il était hors de question qu'elle pense cela, au contraire il se souciait d'elle, même si par moment il avait très envie de la toucher. Mais il se résolut à refouler son désir, qui en devenait une réelle torture. Il s'approcha du bord du lit et admirait Violetta, il priait pour que lorsqu'elle se réveillerait, elle ne s'enfuie pas comme la dernière fois. Il voulait qu'elle écoute, car il était près à lui dire toute la vérité, absolument tout. Leon et elle réfléchiraient à une solution, si elle voudrait bien le croire d'abord. Il s'avançait près d'elle et souleva doucement la couverture pour s'allonger, cette fois-ci sa femme était tournée sur la gauche et il souffla soulagé, qu'elle soit bien endormit. Alors qu'il sentait le sommeil le gagner, il entendit sa femme gémir son prénom. Son visage devint totalement rouge, rêvait-elle de lui ? Si il entendait encore une fois sa femme gémir ainsi, il ne pourrait plus se contenir. Il se boucha les oreilles en enfonçant son visage dans son oreiller pour se retenir, puis il sentit une main passer sous son t-shirt. Mais que faisait-elle à la fin ? Il se demandait enfin, si elle dormait vraiment ou si elle voulait le narguer. Il sentit des frissons le parcourir, quand la main de sa femme vint caresser son dos sous le fin tissus. Il mit un main sur sa bouche pour s'empêcher de grogner et réussit à se tourner pour arrêter sa main. Mais celle-ci avait réellement les yeux fermés et avait un léger sourire au lèvres. Elle attrapa le t-shirt de son mari et y posa un léger baiser qui le rendit de plus en plus ardent. Leon ne pouvait plus réfléchir du tout et passa une main dans ses cheveux.

Violetta quand à elle continuait de gémir son prénom tout en baladant ses mains sur son corps musclé. Puis son mari, déposa une pluie de baiser sur son cou, et elle mordillait érotiquement son doigt, que celui-ci se mit à haleter. Bizarrement, sa femme avait toujours les yeux fermés, mais il n'eut pas le temps de réfléchir car le désir l'enveloppait tout entier. Depuis combien de temps n'avaient-ils pas fait l'amour ? Des semaines durant qu'il y pensait, et il voyait qu'elle était prête émotionnellement mais physiquement ? Il n'en était pas sûre, son corps était active, mais ses yeux... Ses magnifiques yeux bruns ne s'étaient pas ouvert, il se doutait qu'elle devait peut-être rêver. Il voulait l'arrêter tout de suite, sachant que s'il le faisait, elle n'aurait peut-être pas été consciente et elle aurait prétendue qu'il avait profiter d'elle. Il essayait de se retirer, mais Vilu continuait de lui mordre les lèvres et ne daignait pas le laisser s'échapper. Le soucis semblait refaire surface: était t-elle consciente ? La sensation des mains de Violetta sur son corps, lui fit instantanément oublier le moment présent. Et ils s'abandonnèrent complètement, jusqu'à qu'il lui fasse subitement sienne.

- Je t'aime Violetta. murmura t-il à son oreille, alors qu'il les recouvraient de la couverture.

♥

Violetta se sentait toute chaude, bien trop chaude même. Elle sentait un parfum qu'elle connaîtrait entre milles, celui de son mari. Rêvait-elle ou était-ce la réalité ? Elle ouvrait doucement les yeux et vit qu'elle était entre les bras de Leon, qui était torse nu. Elle était à moitié-nue et poussa un cri horrifié. Que s'était-il passé ? Comment était-elle arrivé du placard à ménage à ici ? Elle sursauta et se défit des bras de son mari en se levant du lit. Terrifié, elle fut soudain pris de vomissements, elle courut dans la salle de bain qui était à côté de leur chambre et se mit à vomir dans la cuvette. Que lui arrivait-il ? Pourquoi était-elle vêtue ainsi ? Bon, je peux pas réfléchir là, mais seulement vomir... pensa t-elle. Alors qu'elle continuait de recracher toute cette maladie incessante, elle sentit quelqu'un lui retenir les cheveux. Elle n'osa pas relever la tête, sachant que c'était son mari, et ne voulait surtout pas lui montrer son affreuse expression. Après quelques minutes, elle se sentit enfin un peu mieux, malgré quelques douleurs au ventre. Elle se releva et chancela un peu, Leon la retint mais celle-ci trébucha carrément sur lui. Et elle écrasa ses lèvres sur lui, tandis qu'il avait les mains posés sur son derrière, position très gênante... Il caressa le tissus en dentelle noire, c'était les sous-vêtements préférés de Leon, et il se demandait si elle avait fait exprès de les mettre. Après un baiser sans fin, elle se releva furtivement et chercha un peignoir à mettre. Elle en trouva un accrocher à la porte et l'enfila rapidement. Leon posa deux mains sur ses épaules et la regarda droit dans les yeux.