Un amour impossible 2. (Terminé)

Chapitre 24: Dernière partie.

Violetta était dans la canapé de son salon, regardant les informations de la semaine. Elle avait dit à son mari de changer de programme pour le déjeuner et le reporter à midi. Ce déjeuner, elle avait fait en le regardant hésitante; parce qu'elle ne savait pas si Leon méritait encore une chance.
Habillée, elle attendait patiemment que son mari arrive, bizarrement elle n'avait pas vu Maria depuis hier. Et tremblait en tapotant sur la télécommande, à la recherche d'informations qui parlait d'une petite fille disparut. Tout ce stresse n'était pas bon pour le bébé, soupira Violetta. Toute la soirée Violetta avait paniqué en appelant la police au sujet de sa fille disparut, mais ces cons de policiers ne pouvaient pas se presser pour quelque chose d'aussi important !

Et s'il lui arrivait quelque chose ? Violetta ne se le pardonnerait jamais.
Alors qu'elle fixait encore l'écran du téléviseur. Elle entendit un petit cri de jeune femme suivit d'une sonnette.

Aussitôt elle se précipita pour ouvrir et tomba sur Maria et son mari. Son mari était habillé d'une tenue décontractée, tandis que sa fille était en petite jupe d'été. Sa mère sauta dans les bras de sa fille et se mit à sangloter de joie.

- Espèce d'idiote,tu m'as fait peur.

- Pardonne moi Maman, dis la jeune fille en se sentant réellement coupable.

- Je l'ai trouvé chez Francesca, affirma son mari.

- Oui et maintenant je la ramène avec moi.

Elle aperçut son amie derrière sa petite famille au pas de la porte. Elle sourit et prit Maria par la main.

- Amuser vous bien, les amoureux, roucoula la jeune italienne.

- Wii amusez-vous bien les z'amoureux ! - gazouilla Maria en pouffant.

La jeune brune devint écarlate et se retourna chez elle pour éteindre la télévision. Elle n'était pas prête à affronter le visage de son mari. Celui-ci glissa une main dans la sienne. Elle tourna instinctivement le visage, putain... - s'étonna Violetta.

Comment pouvait-il être aussi beau ?

- T'arrêtes de me regarder avec des yeux de merlan fri ? - pouffa t-il.

Elle détourna le regard furieuse. Il lui prit soudainement le menton et lui murmura en cherchant son regard.

- Tu es magnifique, mon amour.

Celle-ci surprise, lui fit un petit sourire. Son cœur battait vraiment fort, comme lorsqu'elle était adolescente. Ils sortirent de la maison et à peine avait-elle tourner la serrure, qu'ils tombèrent sur Stéphie.
Oh non... Elle se figea mais Leon lui tira la main, avec le regard dure.

- Chéri, il faut qu'on parle. Tu peux pas rester avec cette pouf.

Il fit un sourire sarcastique.

- C'est fini Stéphie. - De fines chaînes glissaient dans les mains de la pauvre femme. Elle se retourna et des yeux s'agrandirent lorsqu'elle réalisait que deux policiers l'arrêtait. Violetta aussi était surprise. - Pour harcèlement envers ma femme, maintenant tu vas nous laisser définitivement tranquille et tu verras tout ça avec la justice.

Violetta bouche-bée se laissa traîner par son mari sous les cris incessant de Stéphie.

- Tu me le paieras Violetta ! Leon tu seras à moi un jour où l'autre.

Leon prit sa femme par la taille et sourit légèrement.

- Je crains que je serais déjà grand-père, le jour où tu sortiras de cellule, bonne chance Stéphie.