Une ado ordinaire enfin...pas tout à fait

Chapitre 24: Mili ou Mon Anifam!

Excusez-moi pour ce gros retard mais j'ai aussi repris les cours et le lycée ça ne rigola pas...Alors voilà :)Bonne lecture ;)

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- Kieira?

- Oui, Votre majesté.

- Viens, mon enfant..."

Je suivis docilement la Reine dans son grand salon, je ne savais pas ce qu'elle me voulait mais, en tant que ma souveraine, il fallait que je lui obéisse. Ce matin, je m'étais réveillé dans les bras de Nathaël, bien qu'il ne m'avais pas embrassé, on avait pris l'habitude de dormir ensemble...enfin, IL avait pris l'habitude de venir dans mon lit. Mais ce matin, je ne m'attendais pas du tout à ce que la Reine fasse appelle à moi. J'avais revêtis une de mes plus belles robes, avec l'aide de Bamia qui pour une fois, n'a pas essayer de me coller une robe de quelques centimètres de longueur. Non, elle avait décidé de m'habiller élégamment soit une grand robe blanche qu'elle avait brodé de pourpre devant mes yeux. Elle l'a aussi remodelé en y ajoutant quelques violettes (mes fleurs préférées). Puis chaussé de petit soulier pourpre, elle m'avait fait entrer dans la salle de bain pour me coiffer. Je ne pensais pas qu'elle voulais me faire un chignon avec des tresses et des mèche de partout, mais en soit cela et très jolie. Mais elle à dû coopérer avec la brosse à cheveux magique qui ne voulait pas de cette coiffure, donc après quelques touffes de cheveux arrachés, j'ai décidé de mettre mon mot à la conversation en disant que la coiffure de Bamia était très bien comme ça. Evidemment elle l'a tellement bien pris qu'elle m'a fait un câlin et qu'elle a tiré la langue à la brosse qui c'est mis à lui taper dessus...donc vous voyez...ce qui m'attendais ce matin. Nathaël qui attendait pour prendre la salle de bain m'a trouvé très jolie...et heureusement.

Mais lorsque je croyais que j'en avais finis avec Bamia et tout le tralala, le château si est mit aussi et voilà ce qu'il m'a dit:

"Dis donc, tu te rend où habillé comme ça?

- Je vais voir la Reine, pourquoi?

- Non, non, juste comme ça!

- Ah oui! Tiens, maintenant que tu es là, tu va me montrer le chemin!

- Et si je dis non?

- C'était pas une question!

- Ah bon et si...

- Bon, dépêche toi!

- Mais si...

- Bouge-toi les murs porteurs, sinon je t'explose!

- Ok, ok, t'énerve pas hein!

- Mais c'est toujours comme ça avec toi, je suis toujours obligé de me fâcher!

- Mais aussi si...

- Un...

- Si...

- Deux...

- Ok, c'est bon, suis moi!

- Merci bien!

- Tiens, tu sais dire ça toi?

- Bah oui!

- Mais c'est parce que tu me le dis jamais donc...

- ...

- Bon, allez viens!"

Il a finit par me montrer un chemin, mais au bout d'un quart d'heure nous n'y étions toujours pas...évidemment car deux mètre plus loin, j'atterris dans la cave du château. Les mains pleine de feu doré, j'appelais le château: