Partie XVI - On perd beaucoup d'argent en courant derrière une femme.

78 2 0
                                    

Titre complet - On peut perdre beaucoup d'argent en courant derrière une femme mais on peut aussi perdre sa femme en courant après l'argent. - Black M.

Youness - Attend mon coeur, j'vais appeler Nadir voir s'il veut pas venir manger avec nous.

- Ok vas y mais y vient juste manger ?

J'demandais parce que lui tu savais quand il arrivait mais tu savais jamais s'il allait partir et voilà j'avais pas trop envie de me lever demain matin avec lui sur le canapé.

Youness - Oui tkt t'façon on est chez nous, il va pas rester ici pour te voir en pyjama et tout, c'est mort.

- Ok bébé, c'est bon.

Il l'appelait, moi j'étais toujours à fond dans mon film. C'était The Dictator ou un truc comme ça, en vrai on arrivait jamais à le voir en entier ce film. Chaque fois, on s'endormait avant, ce soir j'comptais bien le finir.

Youness - Azi il est bizarre lui il est sur messagerie nique sa mère.

J'disais rien mais c'est vrai que c'était bizarre, jamais son tel était coupé et encore moins dans ces heures la car c'est vrai, limite ils était plus ensemble les deux que moi et Youness, on aurait dit un petit couple et en général vers ses heures la, ils sont ensemble.

Bref tant mieux ça m'arrangeait j'ai envie de vous dire. C'est pas qu'on passait toute nos soirées à trois mais il était quand même souvent la donc bon des fois c'est pas mal d'être à deux aussi.

On s'installait avec Youness, lui il était assis et moi j'avais la tête sur ses genoux. Il me caressait les cheveux et parfois je le sentais jouer avec mes cheveux, j'étais trop bien.

Jusqu'à ce qu'on se mit à toquer très fort à la porte. J'ai sursauter car je m'y attendais pas, on avait entendu aucun bruit.

Youness - Ouais Nadir c'est bon j'arrive. ( à moi) Attends bébé lève toi, j'vais lui ouvrir.

Il n'a même pas eu le temps de se lever que ça retoquait à la porte.

Youness - Oh Nadir je t'ai dit j'arrive arrête frère !

Et c'est la que le cauchemar à commencé .

Il a ouvert la porte et un homme habillé de noir, plutôt costaud, lui a sauté dessus en le plaquant au sol. Je le revois se faire propulser par terre avec ce mec sur lui.

J'comprenais pas ce qui se passait jcroyais c'était une blague zerma des collègues à lui qui voulaient déconner.

Je l'ai vue au sol, les mains dans le dos, avec le flingue braqué sur la tempe.

Youness - Oh j'ai rien fait, j'ai rien fait !

Flic 1 ( Le costaud.) - ******* Youness, t'est en état d'arrestation pour trafic de stupéfiant.

Il y avait deux autres flics à la porte, un homme et une femme. Y avait même le bélier pour défoncer la porte. J'comprenais pas, j'arrivai même pas à parler ou à pleurer, j'étais ailleurs.

Du temps que la femme arrive pour me maintenir les mains derrière le dos, le premier flic braqua son arme vers moi.

Flic 1 - Et toi, tu bouge même pas !!!

Mais putain, tu veut j'aille où c'est mon homme que tu maintient au sol là.

La femme arriva et me mis les mains dans le dos afin de me faire passer la chambre pour me fouiller.

La chambre était ouverte sur le salon donc j'voyais quand même Youness.

Elle se mit à me fouiller, à me palper de partout pendant que le flic parlait à Youness.

Léannah - Jusqu'à la fin des temps, ce sera nous contre le reste du monde.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant