chapitre 8

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PDV Ben.

Je rentre dans le bureau de Krüger hors de moi.

Elle me regarde étonnée.

Moi : il faut qu'on parle commissaire.

Elle ne me répond pas et baisse la tête ...

Je me rapproche de son bureau l'air menaçant.

Moi : de Borris .. J'aurai bien aimé être au courent ... C'était tout de même mon ami.
Krüger : je voulais vous prévenir ... Mais ...
Moi : (la coupant) vous ne l'avez pas fait. Je l'ai bien remarqué.
Krüger : je redoutait de vous avoir au téléphone ... Je n'ai pas osé ...
Moi : je ne suis pas devenu un monstre parce que j'ai refait ma vie à Los Angeles.
Krüger : je ... Je sais.
Moi : alors pourquoi ?

C'est à ce moment là que Semir rentre dans le bureau. Krüger à l'air soulagé.

Semir : excusez moi ! Les infirmière qui sont en charge de la mère à Nina ont appelé.
Moi : et ?
Semir : sa mère tenait dans sa main un symbole du signe du zodiaque. Toujours le même scorpion.

Je deviens livide.

Moi : Claurer est au courent ?
Semir : par encore ... Elle est en train de lire le journal intime qu'elle a trouvée avec Jenny.
Moi : il faut faire surveiller la mère à Nina.
Krüger : et aussi la femme de la seconde victime. Elle pourrait recevoir le même symbole
Moi : mais si maintenant ils s'attaquaient aux proches des victimes ... Ce serai qui pour Claurer.
Krüger : ça aurai était sa fille mais elle est déjà morte ... c'est elle qui est en danger ... De plus en plus.
Semir : comment peut-on augmenter sa sécurité sans qu'elle s'en aperçoive ?
Moi : (me souvenant des paroles qu'elle m'a dite dans la matinée) non ! Il faut la tenir au courent ! Je crois que ce serai mieux comme ça ...
Krüger : vous êtes sur ?
Moi : oui.

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PDV Adèle

Depuis que Ben est partit furieux dans le bureau de la commissaire je lis avec Jenny le journal intime ... Plein de chose est dite mais il nous manque encore leur lieux là où on peut les trouver ...

Jenny : regardez ..

Elle me fait lire une page ...

" Aujourd'hui ils m'ont demandé de tuer Adèle ou sa fille chérie. Pour lui faire du mal. Je n'avais pas compris pourquoi mais quand j'ai appris qu'un des hommes est le père de l'enfant d'Adèle je me suis dit c'est quoi ces ordures qui veulent du mal à une femme comme elle ? Bref je sais que ma mort approche de plus en plus ... Même si je ne meurt pas à cause d'eux ... Je mourrai de mon cancer que je cache à tout le monde depuis un petit moment déjà ... Je suis en phase décisive ... Je veux dire dans les prochains mois. Je ne fais plus partis de ce monde. Au revoir petit journal j'espère que demain je pourrai encore écrire ... (Je dois retourner bas ... Pour dire que je ne tuerai personne.)"

C'est la dernière page écrite.

Jenny : venez ...

Elle me conduit dans le bureau de la commissaire.

Jenny : excusez moi auriez vous le rapport du médecin légiste de la deuxième victime ?
Krüger : oui pourquoi ?
Jenny : c'est pour vérifier quelque chose.

Kruger tend le dossier en question à Jenny qui le prend.

On feuillette à deux les pages et on finis pas trouver ce que l'on cherche. Soit la preuve de son cancer qui était bel et bien en phase terminal.
Je deviens livide.

Moi : pourquoi il en a parlé à personne ?
Jenny : on ne le sera jamais ...
Krüger : que se passe-t-il ?
Moi : il avait un cancer en phase terminal ...
Ben : Claurer ?

Je regarde Ben qui m'appelle. Il est debout devant le bureau à Krüger.

Moi : oui ?
Semir : les infirmières qui sont en charge de la mère à Nina ont appelés ...
Moi : et ... ?
Ben : la mère à Nina tenait dans sa main le signe du Zodiaque ... Toujours le même scorpion ...
Moi : qu'es que ça veut dire ? Ils s'attaquent aux membres de la famille ?
Krüger : on peut envisager cette possibilité ..
Moi : mais du coup ... Pour moi je n'ai déjà plus ma fille ....
Krüger : ils veulent votre mort Claurer.
Moi : ils ne l'auront pas !
Ben : il faut vous protéger davantage ... Mais je ne sais pas comment ...
Krüger : j'ai ma petite idée sur la question ...
Ben : et quoi ?
Krüger : vous pourriez retourner à LA avec Claurer ... En protection. Le temps que cette enquête se termine.

Alex rentre dans le bureau.

Alex : mauvaise nouvelle.
Moi : pour pas changer ...
Alex : on a retrouver la femme de la seconde victime .... Pendu chez elle ...
Moi : oh mon dieu !
Krüger : c'est quand que cette histoire va se terminer ....
Ben : je pense que oui c'est possible ...
Krüger : super.
Moi : je ne veux pas partir à LA.
Krüger : je ne vous laisse pas le choix.
Moi : je veux retrouver ces putains d'assassins ! Pour ma fille pour tout !
Krüger : je ne fais pas ça par plaisir ...
Ben : vous voulez aussi vous débarrassez de moi par la même occasion ?
Krüger : Ben ! Ne commencez pas !

Elle sort du bureau pour aller voir Suzanne et elle revient deux minutes après.

Krüger : elle vous a réservé deux places pour ce soir ... 20h.
Moi : génial !

(Notez l'ironie de la situation. )

Moi : je peux faire quoi avant de partir ?
Krüger : ne vous inquiétez pas pour nous ... On va gérer la fin ...
Moi : ouais c'est ça ! Je pourrai au moins récupérer mes affaires ?
Kruger : je suis désolé c'est bien trop risqué.

Je souffle et sort du bureau. Je pars au vestiaire. Ben me rejoins ...

Ben : c'est peut être pas plus mal comme ça ...
Moi : vous ne pouvez pas vous la fermer ?!
Ben : quel gentillesse !
Moi : ça vous gène ?
Ben : écoutez ... Si on continue comme ça ... Ça ne va pas le faire ! Surtout qu'on va cohabiter chez moi !
Moi : qui a dit que j'allais vous suivre ?
Ben : la commissaire en personne !
Moi. : et ma fille ? Je vais faire comment ? Je voudrai rester au près d'elle ! Et puis il faudra bien l'enterrer !
Ben : ça ne va pas s'éterniser. Cette femme c'est un suicide. Le médecin légiste est formel.
Moi : mais pourquoi ?
Ben : en manque de son mari ... Je suppose ...
Moi : ou alors elle avait des choses à se reprocher !

Je sors des vestiaires et je retourne voir Krüger.

Moi : commissaire ? Vous allez faire une perquisition chez Florence ?
Kruger : j'en vois pas l'intérêt.
Moi : moi je la vois.

...

Fiction Alerte CobraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant