Chapitre 11

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Nous nous asseyions et il commence son récit.

- Mon père est comme qui dirait violent depuis la mort de ma mère. Il boit énormément. Enfin bref, tout à l'heure May a cassé un verre, et il s'est mis à la gifler. Je me suis interposé et mon père m'a fais manger son point. Je suis tombé et il m'a envoyé ses deux points dans les côtes. J'étais par terre, j'allais me laisser tel quel Elena je te promet, mais il s'est tourné vers May et elle criait. Il avait repris ses esprits et il voulait la prendre dans ses bras mais elle voulait pas. Je l'ai retiré de son emprise et il m'a cassé la bouteille sur la tête. J'ai pris tout ce qui me restait de force pour venir ici, mais je supporte plus qu'il nous fasse du mal. Aide moi je sais pas quoi faire put...

Il ne pu finir sa phrase qu'il sanglotait. Je montais à califourchon sur ses genoux et il glissait sa tête dans mon cou. Je lui caressait doucement les cheveux.

Moi qui croyait que ce type était juste un connard arrogant et prétentieux ! C'est juste un homme qui souffre, détruit par le désespoir de son père. Il leva la tête pour me regarder, ses yeux étaient rouges et gonflés et il me dit :

- Ne me laisse pas je t'en pris.

On sentait dans sa voix qu'il était brisé. Je ne répondis pas et plaquait mes lèvres sur les siennes. Il me rendis le baiser comme si sa vie en dépendait. Les papillons dans mon ventre étaient en recréation ! Je frissonais et prise d'une pulsion je lui enlevait son tee-shirt, laissant apparaître ses abdos recouverts d'un tatouage qui représentait un bouquet de pivoines.

Il captura mes lèvres juste avant de me retirer mon tee-shirt. C'était toride et enivrant. Il me glissa doucement sans quitter mes lèvres :

- Tu es sûre ?

Je ne répondis pas. Bien sûr que j'étais sûre, je voulais le sentir en moi, qu'il soit le premier et le dernier. Je suis irrévocablement amoureuse.

PDV Stan :

Sentir ses lèvres réglait tout. Merde je tombe amoureux. Je l'embrassais encore et je sentis mon entre jambe se réveiller. Je lui glissais sans quitter ses lèvres envoutantes :

- Tu es sûre ?

Elle ne répondit pas. Je descendis et lui faisais un suçon dans le cou. Elle avait d'aimer ça vu qu'elle se tortillait sur mes genoux ne faisant qu'augmenter mon désir. Je voulais qu'elle m'appartienne, elle est mienne et a conquis mon coeur.

L'avoir dans ma vie n'est plus une option.

PDV Elena :

Il me déposait des milliers de baisers dans le cou avant de l'aspirer. Ça me donnait des sensations nouvelles, et j'adorais ça. J'avais l'impression d'avoir le contrôle de mon corps. Je m'apprêtait à deboutonner sa ceinture quand j'entendis la porte s'ouvrir dans le couloir.

- Chérie je suis rentrée ! criais ma mère .

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Désolé du retard mais j'avais un BAC blanc.

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Merci aux fidèles et bisous !

My Bad BoyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant