P.A.R.T. 47

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« Louis »

- Tu étais passé où pendant ces trois derniers jours ?
- J'étais loin de toi.
- Tu ne comprends pas !
- Comprendre quoi ?
- QUE TA MERE S'EST INQUIETER POUR TOI !
- Mais toi, non.

Nous sommes toujours dans la voiture mon père et moi. Mais il me pourri le voyage. Comme toujours de toute façon. Il ne dit plus aucun mot parce qu'une nouvelle fois j'ai raison. Il ne s'est pas inquiété pour moi et même pas une seule seconde.

- Tu crois que je ne t'aime pas ?

Il ne me regarde pas et ses yeux sont river sur la route je pense qu'il n'attend pas une réponse de moi, mais c'est juste une réflexion qu'il a et qu'il a besoin de parler à lui même, alors j'écoute mais ne dit rien.

- Toute ma vie j'ai fait ce que mon père me disait de faire.

J'aimerai savoir pourquoi est-ce qu'il le faisait parce qu'il avait le choix. Nous avons toujours le choix.

- J'ai toujours cru que si je faisais ce qu'il désirait alors il serait autant fier de moi, que moi je l'étais de lui.

Il marque une petite pause avec un petit sourire au coin de ses lèvres.

- En réalité j'ai jamais voulu être avocat. Je voulais faire rugbyman. J'aimais le rugby mais mon père disait que c'était du gâchis et je l'ai cru.

Je suis stupéfait, je ne m'attendais pas à ça du tout. Mais ça ne change rien à ce qu'il est. Il continue.

- C'était un adulte et pour moi les adultes savaient mieux que les adolescents, alors je me suis dit que je ruiner ma vie à aimer un sport.

La voiture s'avance vers un feu, il devient rouge alors mon père s'arrête, ce feu met mille ans à se mettre au vert. Il tourne sa tête vers moi.

- Mon père ne m'a jamais réellement montré qu'il m'aimait et qu'il était fier de ce que j'étais devenu. Lorsque j'ai eu mon diplôme de fin d'année et que je suis enfin devenu avocat, il m'a regarder quelques secondes puis m'a dit .. « Tu as réussis, avec beaucoup de difficultés. J'ai cru un moment que tu le serais jamais. » Il ne m'a jamais dit un simple « Je suis fier de toi mon fils. » Jamais.

Le feu se met au vert et je reste planté là à pas savoir quoi dire, c'est tellement immonde ce que mon grand-père lui a dit.

- Je ne veux pas que tu puisses croire que je ne t'aime pas parce que c'est totalement faux. Tu es mon fils et je veux seulement que tu es ce qui te rend heureux.

Il a bu ? Ou il s'est drogué. Il peut pas vouloir mon bonheur, il peut pas vouloir que je sois juste heureux.

Nous sommes arrivés à la maison, mon père arrête la voiture devant puis il s'avance vers la maison et ouvre la porte.

- Il est là.

Ma mère descend vite les marches puis quand elle me voit, son sourire apparaît. J'ai un sourire en la voyant parce qu'elle m'a manquer.

- Louis, j'étais tellement inquiète. J'ai cru qu'il t'étais arriver quelque chose ..

Si elle le savait seulement .. J'aimerai tout lui dire parce que c'est épuisant de tout garder au fond de sois ..

- Tu es tout sale et tu as pleins de blessures sur ton visage, tu vas bien ?

Les bleus que j'ai ne me font plus trop mal ni rien donc tout va bien ..

- Je vais bien maman, je suis seulement épuiser ..
- Où étais-tu ?
- Je l'ai trouver avec deux amis à lui vers la forêt, un ami à eux faisait une fête je crois et il l'a pris.

Je sais qu'il ment un peu à ma mère mais il ne le sait pas. Il essais d'être gentil mais rien ne peut changer réellement, si ils savaient que je me suis fait kidnapper ils seraient fou de rage mais je ne dirais rien parce que c'était tellement pathétique venant de Rayan.

- Oui, voilà ce qui s'est passer maman.
- Nous verront ça un peu plus tard, faut que tu ailles te laver et te reposer, tu es épuiser.

Elle me prend un petit instant dans ses bras, sans doute pour se rendre compte que je suis vraiment là et que ce n'est pas un rêve ni plus un cauchemar. Et je suis d'accord avec ça alors je la serre un peu plus dans mes bras. Je l'aime tellement.

- Aller, va prendre ta douche.

Elle me sourit avec une petite larme qui coule le long de sa joue. Elle a réellement eu peur que je sois plus là. Je réalise en quelque sorte qu'elle m'aime vraiment et que peu importe les erreurs que je ferai, elle sera toujours là pour moi. Et même si je suis un connard et que je n'aime pas l'avouer, j'ai besoin d'elle .. J'ai besoin de ma maman auprès de moi ..

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Voilà enfin le chapitre 47, alors oui il n'est pas très long mais c'est juste pour que vous puissiez voir un peu la relation entre Louis et son père, pour aussi que vous voyez le passé de son père .. Le prochain je le ferai encore sur Louis (il se peut que quelques fois je fasse plusieurs chapitres sur le même personnages) Bref alors ? Des avis ?

L'amour plus fort que la haine - Larry StylinsonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant