Louis-Alors comme ça, tu te permets de dire de la merde.
-pardon?
-tu m'as bien compris la pédale.
Je me suis approché de lui l'ai attrapé par le col puis l'ai claqué contre le mur pour le menacer.
-Qu'est-ce que j'ai fais? Tente-t-il de dire.
- Ce que tu as fais?! A ton avis, si je te dis Zayn Malik bouffon ? La mémoire te revient?? M'énervais-je.
-Je ne vois pas ce que tu veux dire.
-Zayn Malik et Perrie Edwards putain! Lui crachais-je à la figure. Sauf qu'il me répondit en me crachant réellement au visage.
Je l'ai poussé dans un des chiottes, avec une force phénoménale. La rage me consumait. C'est la première fois que quelqu'un ose me faire ça. Il rampa vers le mur, mais j'ai attrapé au vol sa tête pour la plonger dans la cuvette. Il se débattait c'était plutôt drôle à regarder. Au bout de deux minutes j'ai relevé sa tête par ses boucles qui sentait l'odeur nauséabonde des toilettes.
-Alors? Rafraichissant ?
Je pleurais de rire à le voir comme ça. Il reprit sa respiration puis je l'ai replongé à nouveau, pour la ressortir et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard, quand cela ne m'amusais plus, j'ai projeté ce merdeux en plein milieu de la pièce.
-Écoute. Si j'entends encore une fois ton nom. Ce ne sera plus la tête dans la cuvette que tu auras mais dans un cercueil. Compris?
-O-oui.
Il prit ses jambes à son cou et quitta la pièce. Je me suis regardé dans le miroir avec dégoût après avoir réalisé ce que je venais juste de faire. Je suis qu'un pauvre type. Je me déteste. Pourquoi toute cette merde n'arrive qu'à moi? Hein?! Par pure colère, mon poing droit vint à se cogner contre l'un des quatre murs de la pièce. Je continuais à me faire mal malgré la douleur. Je perdais du sang, et des larmes coulaient le long de mes joues. Je suis une brute.
-Louis ! S'exclama la douce voix prise d'inquiétude de Nadia.
Elle s'est mise à courir jusqu'à moi. Je me suis arrêter et je l'ai fixé d'un regard livide.
Qu'est-ce qui s'est passé ? Mais tu saignes !
Je ne bougeais plus, j'étais comme statique. Elle attacha en une queue de cheval ses magnifiques cheveux. Ses mains tremblaient. Quand sa peau prit contact avec la mienne elle frissonna. Elle détacha de son cou parfumé du même parfum que je le lui avais offert, son écharpe qu'elle portait. Elle l'enroula sur mes blessures pour les panser.