Chapitre 41

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On monta dans la voiture et on partie direction le supermarché...

* fin du dernier chapitre*

On descendit tous et Comme des gamins on courra jusqu'aux caddies. Avec Émilien on était arrivé les deux en premier donc la règle c'était que les deux autres devait nous pousser pendant qu'on étais dans le caddie ! Oui nous sommes des vrais gosses mais on doit bien se changer les idées pour essayer de ne pas trop penser à cette histoire même si Ramiz et moi sortions souvent le soir pour aller rejoindre le groupe pour peaufiner notre plan d'action. On avait toujours pas trouvé comment entré dans le bâtiment sans se faire repérer. Des gardes se trouvaient à chaque étages à chaque portes et ça allait être dur de rentrer. Mais bon on s'en sortira je suis sure ! Je sortie de mes pensées quand le caddie d'Emilien vient me rentré dedans et je rigola ! Tout le monde nous regardaient au milieu du magasin et on fit genre de ne rien voir et on continua les rayons prenant ce que l'on voulait. On se dirigea en caisse quand ma tête commença à tournée... Je regarda Émilien dans les yeux et il comprit que j'allais tombée .... Après sa un trou noir, je ne me rappelais de rien....

*FLASH BACK*

Point de Vue Émilien :

On passa en caisse, Athéna et moi même étions descendu des caddies pour aider à mettre les courses sur le tapis. Quand je releva la tête, mes yeux entrèrent en contact avec ceux de ma sœur mais elle avait le teint pâle et ses yeux ... Je ne connaissais que trop bien ses yeux la... Les mêmes que ceux du jour où elle est entrée dans le coma...
Je me précipita vers elle et réussit de justesse à la rattrapée, je dis aux mecs de finir de prendre les courses et de me rejoindre ensuite à l'hôpital. Je couru avec dans les bras Athéna jusqu'à la voiture, prit les clés qui étaient dans sa poche de manteau, ouvrit la portière avant passagère et la posa délicatement dessus. Je boucle sa ceinture, ferma la porte et grimpa à mon tour sans m'attacher. Je partis le plus vite que je pu du parking pour quitter la ville et rejoindre l'hôpital ... Mes larmes roulaient sur ma jour de peur que tout recommence parce que je me rappellerais toujours de ces deux ans qui nous ont comme séparés puisque plus aucun contact nous unissaient... Je roulais à toute vitesse sur le boulevard quand j'apercus le panneau " Hôpital" je tourna à gauche puis continua. Au bout de dix minutes je me gara devant l'entrée des urgences, descendit de la voiture, prit Athéna et courut dans le hall. Ce tenait trois infirmières qui accoururent jusqu'à moi pour m'aider à la prendre en charge, une autre arriva avec un brancard et la posèrent dessus. Personne ne me demanda ce qu'il s'était passé et me firent passer en salle d'attente. Je devenais fou. Littéralement. Je me rendis pour la quatrième fois à l'accueil et je pu enfin entrer dans le service et aller voir ma sœur dans une chambre. Quand j'arriva au niveau du seuil de la porte, le simple fait de la voir dans ce lit, dans cette tenue, dans cette chambre trop propre et trop blanche, me rappela combien j'avais eu mal, combien j'étais dépressif, agressif et comment j'avais chuté dans l'alcool, la drogue et commencé à devenir un vrai connard avec tout le monde en particulier les filles...  Je ne voulais pas que cela recommence, je ne voulais pas ressasser de nouveau le passé... Le médecin à côté de moi qui devait me parler depuis un bout de temps me donna une tape sur l'épaule pour me sortir de ma trans.

Médecin: Bonjour je suis le médecin urgentiste Delaforge. Nous aurions besoin de quelques renseignements, de savoir si il y a de la famille à contacter.

Moi: Nous ne sommes plus que tout les trois. Nous n'avons plus de famille. Nous n'avons plus exister à partir du moment où nos parents sont morts. Et donner moi ces papiers que nous en finissions.

Médecin: Il faudra vous rendre à l'accueil pour remplir tout cela s'il vous plaît ensuite nous prendrons une décision.

Moi: D'accord, je reviens.

Je partis à l'accueil en courant presque. Je voulais pouvoir retourner auprès d'elle le plus vite possible. J'entendis des voix s'élever mais elles ne m'étaient pas inconnue... Quand j'arriva à hauteur de l'accueil je vis Ramiz et Loïc commencer à s'énerver contre les infirmières.

Moi: Pourquoi vous criez autant ?

Ramiz: Ils ne veulent pas nous laisser entrez !

Loïc: Dit lui qu'on est de la famille bordel ! Et qu'est ce qui ce passe ?

Moi: Laissez les entrez ce sont mes frères et nous n'avons aucune autre famille.

Infirmière: D'accord mais il faut que vous libériez la place avec votre voiture s'il vous plaît et sinon remplisse les papiers.

Moi: Oui je reviens, chambre 084 sur la gauche.

Loïc et Ramiz: Ok on t'attend la bas.

Quand j'arriva sur le parking je frappa le mur qui se trouvait devant moi. Tant de souvenirs me submergeait que je ne contrôlais plus rien du tout. Je ne voulais pas que tout recommence de plus que nous devions sauver Thomas, Anastasia et Kayla. Je pétais les plombs. J'essaya de me calmer mais quand j'y parvins une silhouette non inconnu s'approcha à contre jour de moi, je ne distinguais pas son visage mais son corps. Celui d'un homme. Ohhh non je reconnu cet homme et toute la colère remontait en moi comme une fusée sauf  que cette fois-ci je ne le louperais pas....

*Point de vue Loic*

On marcha en silence tout le mon du couloir en cherchant la chambre 084. Je pouvais sentir son angoisse a des kilomètres. Une certaine tension planait entre nous depuis qu'elle s'était évanouie. Je savais qu'il ne m'aimait pas beaucoup, qu'il l'aimait profondément et qu'il me cachait quelque chose. J'allais pouvoir le cuisiner jusqu'à ce qu'il craque puisque nous n'étions que tout les deux ...

Heyyy voilou le chapitre est fini et je reprend mes chroniques en main après les avoir laissées de coter. J'espère que vous aimez toujours ma chronique. Je pensais aussi que je pourrais publier un chapitre de cette chronique et un de l'autre. Dites moi ce que vous en pensez voilou . Big kiss 😘

Ma vie palpitante...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant