J'ai les nuits d'insomnie, et l'air nerveuse quand je souris.
Je me rappelle de nos marches dans Paris, et nos deux corps courant sous la pluie.
Ce soir je veux pas faire de sauvagerie, j'veux pas refaire une connerie.
Mais dis moi que t'as compris, que de la même manière, t'aurais réagis.
Alors les journées passent et me lassent, c'est beaucoup moins beau sans toi.
Je nous revois imaginer une vie aux éclats de rire, assis, tous les deux, dans ta petite chambre, sous les toits.
Ces souvent pendant ces heures endormies que ma plume m'entraîne, et écrit.
Et les mots alignés sont souvent à ton propos, tu disais qu'on t'oubliait facilement, mais moi j'y arrive pas, je le pensais déjà à l'époque, même si j'te l'ai pas forcément dit.
Mes yeux se fatiguent mais mon esprit ne cesse de chercher, ce que je pourrais faire pour tout arranger et que le bonheur revienne dans c'te vie d'acharnés.
Je les entends tous dire qu'il n'est jamais trop tard, alors je n'arrête pas d'espérer, qu'un jour au coin de la gare, on pourrait se recroiser, toi et ton sage regard.
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Stone cold (2017)
PoésieComme l'a dit Cesare Pavese : « Seul l'hiver est la saison de l'âme » Alors ces bout de pierres froides résisteront au vent vilain Recueil datant, mais fini
