Épilogue

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Bonjour à tous ! Ce soir nous accueillons un groupe qui a fait bouger le monde entier. Après avoir perdu à leurs premier concours, les JAT'S n'ont pas arrêtés de danser et de faire vibrer la planète bleue. Ce soir, les "Danseurs de l'espoir" nous font l'honneur d'accepter leurs tout premier interview. Je vous demande d'applaudir bien fort, LES JAT'S !

Les quatre "danseurs de l'espoir" entrèrent sur le plateau de TF1. Ils s'assoient sur ces hautes chaises autour d'une table haute elle aussi. Tous les quatre en face du présentateur.

Présentateur : Awa, Théo, Jennifer, Jacob, ou tous simplement les JAT'S. Comment allez vous ?

Awa : Tous vas bien Jean-Pierre !

Jacob : Mais il s'appelle François, Awa !

Awa : Merde ! Euh, enfin, désolée François!

François : Pas de problèmes, je suis souvent confondu !

Jennifer : Ouai mais lá c'est normal, c'est Awa !

Awa : Mais chuut !

Les jeunes rirent accompagnés du présentateur, qui suivit :

François : Je vois que le groupe s'est retrouvé et renforcé après votre séparation. Expliquez nous pourquoi ce changement soudain.

Jacob : Théo, vas-y.

Théo : Ok. Bah, c'était un peu compliqué après le concours à la tour LU. On était tous dégoûtés de notre défaite et on ne s'est pas recontactés. Jennifer était aussi à ses opérations puis on avais nos études, qu'on ne devait pas lâcher. Puis Jacob nous a rappelés, uns par uns et il nous a convaincu qu'on devait continuer. Juste au moins essayer.

Awa : Nous on s'était un peu même voir carrément tous séparés. On nr se parlait plus. Même avec Théo même si on habitait dans la même maison. Avec Jacob c'était comme une pose. J'ai, enfin que pense qu'on a tous eu, un gros coup de blues après notre défaite. Mais ça ne veux pas dire que nous ne sommes pas content pour les No-IDENTITY, au contraire, perso je suis trop contente pour eux, mais c'est toujours triste quand on perd.

Jennifer : Moi j'ai fait mes opérations comme il fallait, sans problèmes. Je pensait qu'ils avaient continuer à danser mais quand je suis rentrée et que j'ai appelé Théo, j'ai appris la mauvaise nouvelle puis j'ai presque commencer à déprimer ! Vivre sans danser c'était compliqué.

Jacob : Moi aussi j'en avais ras le bol ! On ne se voyait plus, même avec Awa. On ne dansait plus. C'était comme avant. Puis cinq mois après la "fin du crew", j'ai décidé d'appeler tous le monde et on s'est rejoins au Soussol. On a mis de la musique et c'est revenu tous seul.

François : Après, vous avez fait quoi ? Quand votre crew était reconstruit qu'avez vous décider ?

Awa : J'y vais ?

Jacob : Ouai.

Awa : On flippait un peu de retourner dans le monde des compétitions, on avait peur d'une autre défaite et donc d'une autre "rupture". Alors on a continué de danser dans notre coin et nous avons passé notre bac, Général, tous ensemble.

Jacob : À nos 18 ans, on a fait nos valises, dit au revoir à notre famille et on s'est cassés. On voulais aller autre part, faire bouger les gens mais pas seulement en France et sans compétitions. Juste qu'on nous connaisse, nous.

Jennifer : On a à peu près fait le tour du monde.

François : Et qu'est ce que ça vous a apporté ?

Jennifer : Le bonheur et encore plus de goûts pour la danse. On a rencontré des gens innoubliables et des danseurs aussi différents les uns que les autres. C'était juste énorme.

Théo : Ça nous a pas apporter que ça, mais la reconnaissance. C'était aussi ce qu'on cherchait. On voulais être reconnu.

Jacob : Un jour, un petit monsieur tout rond, chauve avec des lunettes est venu nous voir.

Awa *en parlant a la camera": We love you John ! C'est un américain et il comprends pas le français, je fait la traduction !

Jacob : Bref, John c'est un mec a la tête d'une grande école de danse, un gros truc quoi. Il nous a proposé de danser pour lui, et nous a promis qu'on gagnerai de l'argent. On a eu du mal à accepter au début. Danser pour une personne est pas notre but. Puis on a négocié et il est devenu notre pote et c'est grâce à a lui qu'on a dansé à l'improviste au concert de Beyoncé l'année dernière, puis celui de Macklemore.

Théo : C'est à lui qu'on doit notre surnom des "Danseurs de l'espoir".

Jennifer : "Quatre louvetaux du désert qui s'aventurent dans la ville." Nous avait-il dit. "Et moi, je vais vous faire devenir des loup-garou." J'avoue que c'était une bonne description.

François : Et maintenant. Vous allez faire quoi ?

Awa : On va se barrer et arrêter la danse.

François : Une raison ?

Awa : Vous faire réagir. Non, en vrai de vrai on va continuer. La danse c'est comme de l'oxygène pour nous, si on s'arrête on tombe dans une dépression, alors bien sur que oui qu'on va continuer !

Jacob : On va continuer à vous surpendre et à danser aux moments et aux endroits oú vous ne vous y attendez pas.

François : Une dernière phrase, un dernier mot, pour vos fans. Ou tous simplement un mot, une phrase qui correspondrait à votre histoire,  a votre parcours ?

Awa : 1, 2, 3 !

Tous ensembles : JUST BE FREE. JUST DANCING.

Juste Pour DanserOù les histoires vivent. Découvrez maintenant