Chapitre 14

17.3K 1K 2.6K
                                    




- Qu'est ce que tu veux déjeuner ?

J'ouvris grand la bouche et les yeux, trop étonné par sa question.

Il se redressa est me regarda avant de rire au éclat appuyant encore plus sur mon érection.

Je lâchais un couinement de plaisir et douleur.

- Vus ta tête précédente j'aurais dis du poisson ? Me lança t-il en souriant toujours.

Je ris après quelque seconde mais continuer de grimacer essayant de le repousser doucement.

- Tu...Tu pourrais te pousser...?

Il fit un petit sourire narquois qui me fit frissonner.

- Pourquoi ça ? Tu as pourtant l'air d'aimer ça.

Si un légume aurait pus décrire la couleur de mon visage à cet instant, ça aurait était la tomate.

Je secouais la tête de gauche à droite.

- N-Non...je n'aime pas...ça...

- Pourtant... Ton corps ne semble pas dire la même chose.

Au même moment il fit encore pression sur mon entrejambe m'arrachant un petit gémissement.

C'était la première fois que l'on me touché comme ça. Je sentais déjà un liquide envahir mon sous vêtement. Je crois qu'il le sentit car il arrêta après m'avoir lancé un regard étonné.

- Je vais te prêter des vêtements. Tu peux prendre une douche ou un bain comme tu veux. En attendant j'irais préparer le déjeuner.

Tout le long de ses phrases nous n'avions cessé de nous regarder droit dans les yeux.

Quand il eu alors finis son explication je fis la seule chose qui me sembla digne de faire. Hocher la tête.

Il sourit et ébouriffa mes cheveux d'un geste amical.

D'un geste AMICAL ?!

Je ne veux pas être son ami moi !

Je fronçais les sourcils puis me rendis compte de ma réaction et surtout de la raison de celle ci et je baisser la tête les joues rosies.

Livaï fit donc ce qu'il avait dit et partit chercher des vêtements dans sa commode.

J'observais furtivement chacun de ses mouvements, il avait une certaine élégance de fauve pour se mouvait mais cela lui donné un côté sauvage. Effrayant, et sexy.

Je détournais le regard quand il se tourna vers moi pour venir ensuite me donner des vêtements contenant : un sweat-shirt gris et un jean simple bleu. Ainsi... Qu'un boxer...

Je me levais donc et partis me réfugier dans la salle de bain le visage rouge.

Bordel ! Je n'avais jamais autant rougis dans toute ma vie jusqu'à ce jour. Il est vraiment doué pour me foutre dans l'embarras.

Je regardais donc la salle de bain et pris une serviette dans l'un des tiroirs sous le lavabo.

Je la posais donc non loin de la porte de douche.

Et avant de déposer les vêtements sur une chaise je viens plongeais mon nez dans les tissus ayant imprégnés l'odeur de Livaï.

Son odeur était aussi contradictoire que son aspect.

Doux venant caresser avec tendresse mon sens olfactif mais dure et brute pour bien se démarquer des autres odeurs et taper plus fort dans mes narines me faisant tourner la tête.

Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant