Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalité

Chapitre 23

Super un séjour avec Mikasa qui me colle au cul comme une abeille après du miel.

L'éclate totale.
C'est de l'ironie bien sûr.

Comme si l'avoir sur le dos est une bonne chose.

Déjà que je la supporte la journée au lycée c'est-à-dire 5 jours de la semaine. Mais alors si j'habite temporairement chez eux cela donnera 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Oui je compte même les heures durant la nuit, car avec elle on n'est jamais sûr de rien.

Je me mis alors à sillonner le parc comme un zombie. Sans vraiment de but bien précis.

Observant les lieux, même si je les connaissais.

Quand j'étais petit ma mère m'emmenait souvent jouer ici.

Je me souviens que j'étais accompagné de Armin où nous apprécions se pousser sur les balançoires et discuter.

Mikasa nous rejoignait souvent pour venir s'amuser dans les jeux avec nous.

Oui déjà à cet âge nous étions fourrés ensemble. Nos mères discutaient entre elle tant dit que nous passions la majeur partit de notre temps à jouer.

Il y avait une autre personne avec qui nous avons passé aussi du temps. Mais je n'avais que 8 ou 9 ans et ma mémoire n'arrive pas à l'identifier.

Je ne serrais dire si il s'agissait d'une fille ou d'un garçon car ce n'est qu'une vague impression de silhouette que je vois.

Je m'arrête alors à mon arbre préféré et pour une fois je décide de ne pas m'asseoir à la même place que toujours, depuis aussi loin que je m'en rappelle.

Je fis alors le tour du tronc y trouvant alors quelque chose gravé. J'effleurais du bout des doigts l'écorce rugueuse.

Et soudainement des tas de souvenir déferlèrent sur moi comme une cascade de lave.

//Flash Back//

C'était un après midi gris. Je venais d'avoir mes 9 ans.

Maman était partit parler avec une veille connaissance à elle.

Armin et Mikasa n'avaient pas pus venir car ils eurent un empêchement.

Je n'avais pas envie d'attendre que maman finisse de parler pour allais m'amuser.
Alors je me suis empressé de jouer dans les petites bâtisses.

Étant donné le mauvais temps il n'y avait pas d'autres enfants.
Tout content d'avoir de la place je me balader partout.

Dans mon euphorie je n'est pas pus remarquer la présence d'une petite bande de trois garçon un peu plus vieux que moi de à peine deux ou trois ans.

J'étais rentré dans l'un d'eux. Nous atterrîmes sur les fesses.

L'autre grogna sous le choc et se releva ensuite. Je me remis sur mes pieds.

- Qu'est ce que tu fous dans notre base ? Fit-il irrité.

Base ? J'avais fais quelque chose de mal moi ?

- Je suis venu jouer... Répondis-je d'une petite voix intimidé par les grands.

- Dégage de là. Ici c'est notre endroit. Retourne jouer au toboggan le bébé !

Ses amis acquiescèrent avec des ''Ouais'' dégoulinant de l'intonation d'une personne qui suit aveuglement une autre.

- Mais j'étais là avant vous... Moi aussi j'ai le droit de jouer. Il n'existe pas que pour vous ! Répondis-je un peu sur la défensive.