Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalité

Chapitre 17

Machinalement je m'enfonçais encore plus dans ma couette.

- Il... Je ne sais pas c'est compliqué de réfléchir pour le moment...

- Il faut que tu fasses la chose que tu semble la meilleure pour toi. Fit Armin redevenus sérieux.

Je lâchais une vague réponse. Puis nous parlâmes encore les minutes suivantes et nous coupâmes la discutions sous la cause du manque de sujet.

Finalement ce n'était pas plus mal car là je crois bien que j'aurais finis par m'énerver. Je suis complètement frustré par tout ça.

Et si je faisais comme a dit Armin, comment réagirait Livaï ?

J'aurais bien aimé qu'il soit moins lunatique, mais d'un autre côté cette parcelle de lui m'attire.

Pour dire la vérité tout m'attire en lui, physiquement mais aussi mentalement.

Peut-être que je devrais l'appeler ?

Je jetais un coup d'œil à l'heure sur mon téléphone : 17 heures.

Un combat infernal en moi se déroula pour savoir si oui ou non je devais appuyer sur le petit logo du téléphone. Affiché avec le numéro de Livaï. Quand mon pouce l'effleura et le numéro se composa j'avalais difficilement ma salive le ventre noué.

Il décrocha au bout de la 3ieme sonnerie.

- Allô Eren ?

La voix de Livaï résonna dans le combiné et même comme ça j'entendais ses nuances grave et sexy.

- Un problème ? Demanda t-il comme je ne répondais pas.

- N-Non je voulais juste te parler d'une chose...

- Je te manque tellement que tu m'appelle dans la même journée ! Rit-il un peu arrogant.

J'ignorais ça remarque et dis d'une voix sérieuse et posée :

- On peut se voir ? J'ai des choses à te dire. Ce soir à 19 heures au parc, je t'y attendrais.

- Oì gamin. Je commence à me demander ce qui se passe. ça m'inquiète.

Je posais une main sur mon front un peu troublé.

- Viens juste...

Il n'eut pas le temps de répondre que je raccroché rapidement. Et je soupirais fortement. Je n'aurais pas du lui raccrocher au nez.

Il n'allait certainement pas venir mais je commençais à me coiffer dans la salle de bain puis à me brosser les dents.

Une fois descendus, j'essayais de passer la surveillance de ma mère.

Mais malheureusement ses sens étaient tellement aiguisés que je ne pouvais pas échapper.

- Hep hep hep Eren. Tu compte aller où à...

Elle regarda l'horloge et remit son regard brun chaud sur moi.

- ...17 heures 30 ?

Je réfléchis rapidement à un mensonge, puis ma mère repris son visage lumineux de tout à l'heure et me dit :

- Bon d'accord. Mais ne rentre pas trop tard. Je veux te voir avant 19 heures 30 !

Je lâcher un énorme sourire et un soupire rassuré.

- Tu diras bonsoir à ta copine.

Un sourire déçu tordit mon visage et je me dépêchais de sortir après m'être préparé.