Chapitre 38

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Ma tête....

Putain ce que ça fait mal, merde.

Il s'est passé quoi ?

Le mec m'a menacé. Il m'a montré qu'il ne déconnait pas.
Et ensuite il m'a frappé. Et ça a été l'oublie.

Là je ne sais pas où je suis. J'ai pourtant les yeux ouvert.
Mais ils ne voient presque rien.

Il fait sombre. Ça sent la poussière.
Ma vision s'éclaircit, elle fit une mise à niveau et je pu capter que l'endroit était grand.

Mes poignets ont des entraves.
Je suis sur une chaise, je suis attaché sur elle.
Je sens bel et bien le bois inconfortable et rude qui endolorie mes membres.

Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans cette position mais c'est très désagréable.

J'entendis un bruit.
Alors dans presque un immédiat et une synchronisation parfaite les lumières du plafond illuminèrent de leur couleur jaunâtre la vaste pièce.

Qui, je remarquais, après avoir cligné des yeux, était un vieux bâtiment ou un hangar abandonné.

- Tiens, Tiens. J't'ai réveillé Cendrillon ? Se moqua la voix de l'homme.

Ce n'est pas Cendrillon c'est Aurore dans la belle au bois dormant. Connard.

Révise tes comtes ou tes Disney.

Il s'approchait de moi.

Malgré tout je ne me privais pas pour jeter des coups d'œil sur le lieu.

Il me faut trouver toutes les sorties possibles.

- T'es pas trop mort ça va ? Continua t-il arrivant à ma hauteur.

Cependant je ne lui prêtais pas d'attention.

- J'te parle.

Je reçus alors une gifle plutôt forte.

Seulement alors je le regardais dans les yeux.

- J'ai l'air mort ?

- Pas assez, car tu continue à faire ton arrogant.

Je reçus une seconde gifle plus violente que la précédente.

- T'as pas envie d'appeler au secours ?

Toujours sur un ton moqueur mais tellement glacial.

Bien sûr que je voulais de l'aide.

Plus que ça. Je voulais qu'il y est Livaï.

Comme s'il avait l'eût dans mes pensées il répondit :

- Il viendra. Il viendra.

Il se tut alors que moi j'avais finis par baisser la tête pour commencer à réfléchir.

- Mais je vais m'amuser. Après tout je ne vais pas te "rendre" intacte sinon la leçon serait vaine.

Je ne comprends pas.

De quoi il parle ? Quelle leçon ?

Un autre coup me fut porté au visage.
Un uppercut.

Je crus bien que ma mâchoire allait suivre le mouvement pour disparaître.
Sans attendre les coups tombèrent tandis que la douleur me faisait hurler.

Quelqu'un !
Que quelqu'un vienne !
Que quelqu'un m'aide !

Je serais les poings alors que je me retenais de pleurer.

Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant