Riren/Ereri : Ma rencontre du virtuelle avec la réalité

Chapitre 13

PDV Eren :

Quand je me réveillais j'avais un affreux mal de tête pire que les migraines.

Je fus soudainement déstabilisé constatant que je ne trouvais pas dans mon lit.

Puis peu à peu je me rappelé de ma soirée et seulement alors je remarquais la présence de Livaï à mes côtés.

Il devait s'être réveillé un peu avant moi. Il m'observait avec une lueur malicieuse dans les yeux.

Je pris peur la dernière chose dont je me souvenais c'était le passage dans le canapé...

Je le détaillais discrètement il était torse nue. Son corps semblait être passé entre les mains d'un artiste. Ses traits dessinés à la perfections, bien musclés mais pas trop non plus. Et il était fin parfait pour être mannequin. Vraiment, il était divin.

Puis je reviens sur mes anciennes pensées et bégayais rouge, étant sur qu'il m'avait vus le dévorer des yeux :

- Je...Euh... Nous avons... fait...quelque chose...?

Je vis de l'hésitation dans ses yeux. Se demandait-il si il faillait me dire la vérité ? Ou bien il cherchait juste à m'embêter et me mentir.

- Nous n'avons rien fait. Certifia Livaï étant moins froid que la veille.

Je lâchais un soupire de soulagement mais avec une petite touche de déception, peut-être en avais je eu envie après tout... ?

Oui. Peut-être mais pas en étant bourré.

Merde réfléchir me faisais mal. Je frottais mon front douloureux.

Mon cœur s'affola lorsque Livaï se releva vêtu d'un simple boxer.

Mes joues s'empourprèrent et je détournais le regard ayant pendant une fraction de seconde observé ses fesses.

J'entendis le rire suave et moqueur de Livaï certainement en m'ayant vus le mater.

Je me levais en tanguant légèrement sur mes pieds puis je retrouvé l'équilibre.

- Merci... d'avoir pris soin de moi...Je... J'y vais...! Fis-je un peu crispé la voix hésitante.

Je commençais à me diriger vers la porte de la chambre pour sortir.

Mais je fus soudainement plaqué sur le lit les mains bloquées par celle de Livaï au dessus de ma tête.

Il était à califourchon sur moi et mon corps ne répondait plus, figé il ne bougeait plus. Contrairement à mon cœur qui battait tellement fort que je pensais qu'il aller s'échapper de ma poitrine.

Son visage était si proche du mien je sentais son souffle chaud caresser mon visage rougis et brûlant.

Ses yeux dégageaient une étincelle particulières j'en étais hypnotisé.

Je descendis alors mon regard vers ses lèvres qui remuèrent lentement, je n'en perdis pas une miette et enfin ses paroles me parviens dans un murmure rauque et mielleux.

- Nous n'avons pas finis ce que nous avons commencé hier...

Je sentis des frissons me parcourir le corps, mes yeux se replongèrent dans les siens. Se noyant dans leurs belles teintes froides.

Je ne savais ni quoi faire, ni quoi dire. Ma gorge était serré et mes membres refusant toujours de réagir à mes demandes. Tout cela était vain.

Ma vue se troubla petit à petit et je compris que je pleurer.

Livaï se redressa lâchant mes mains avait-il crut m'avoir blessé ? Ou quelque chose dans le genre ?