C'en est assez. Je vais écrire et vous parler d'une part en prose, d'autre part sans poésie aucune. D'homme à homme, ou plutôt, d'âme à âme.
Lecteurs, lectrices, j'en ai assez. J'en ai assez... mais de quoi ? Des lamentations. De cette poignée de derniers textes et de leur thèmes.
En une soirée, tant d'événements se sont déroulés...Et, alors que je reçois des messages en nombres s'inquiétant sur mon état, lecteurs, lectrices, je vous écris noir sur blanc que je reprend la guerre, que je reprend les armes, que je serre les dents comme jamais je ne les ai serrés. Je me traînais au bout de moi-même, j'ai à présent découvert que je pouvais me dépasser.
Mes limites de résistance ne flanchent pas.Les appels s'accumulent sur ma boîte vocale, et je souris à tous ceux qui y entendrons ma voix pour la première fois.
Ma voix, ils viennent de la connaître... Ma voie, ils la connaissent déjà. The Way, hein ?Je souffle. J'ai appris à me défendre contre les monstres qui brisent en deux des gens aussi fort que des montagnes, qui les tuent à petit feu...
Je pense à toi, N.J'ai l'arme au poing.
Le stylo tient dans ma main.
Je resterai. J'ai compris.
J'OUVRE LA VOIE, AUJOURD'HUI !!!Thibault Desbordes.
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Blitzkrieg
PuisiTroisième pas dans l'écriture, aussi lourd que grand. avril 2016 - juin 2016 - Dans le silence d'une chambre où s'annonce l'écriture, D'un certain recueil où sonnent les ratures.