Guide de vie d'un jeune paumé.

Peau

Tu m'avais tant manqué , tu sais. Je me posais tout un tas de questions quant ton absence cette semaine. J'étais tellement content et excité de te voir. Oh crois moi , les mots sont faibles. Mon corps étaient une chamades comme à son habituels. Ta petit tête m'avais manqué. Ta voix dur mais apaisantes m'a soulager. Mais j'ignorais. Tout. Toujours. Tout le temps , j'ignorais. Oh bordel , tu m'as retourné de la tête aux pieds. Je dirais plutôt tu m'as retourné le cerveau. Tu avais tant à me raconter , moi aussi d'ailleurs. J'ai préférer t'écouter en premier , j'aimais boire tes paroles. Tu m'avais montré des photos de toi avec ta frimousse d'ange. Puis , le silence. Tu avais une nouvelle à m'annoncer. Putain , je m'y attendais pas. J'étais si content pour toi , que mes pseudo leçons de vies t'es aidé juste un peu. Que tu es réussis à vivre heureux. A rencontrer celui qui ferrait de ton corps un bouquet. J'étais si content. Mais à la fois si triste , arraché , dévasté , anéanti, lacérer , je voulais que tu te taises à la fois je voulais que tu continues. Bordel , j'étais si bien avant ce cataclysme. Bordel cette vibration dans nos échanges était si bon. Je sais que je t'avais promis de cesser de t'aimer mais je t'ai menti comme j'ai menti à tout le monde. Je t'ai répondu "Oui , j'essayerai." Mais non , je savais que t'étais la pilule qui soulagerais mes migraines. La seul guérison possible à mes plaies d'enfer. Les bras que je voulais , les paroles qui je suivrais , le bonheur qui m'a lâché. Je vivais déjà assez mal mais là je pense que je suis définitivement retombé. Retomber dans mon néant , dans ce vice si cruel et austère. Bordel , ça me fait tellement mal d'écrire ça. Je souffre tellement , j'ai l'impression qu'on m'arrache la peau à chaque lettres que je note. C'est ça l'amour ? Le vrai , le beau , l'incroyable ? T'étais le rayon de soleil perdu dans ces nuages noirs. Le courant d'air frais que j'aimais tant quand il faisait chaud. Putain , mon petit bonhomme de neige non. Je sais qu'on sera toujours ami , mais je sais que l'amour nettoie les tâches. J'en suis une. Je sais que tu m'oublieras peu à peu. Même si tu ne le veux ,ça arrivera. En quatre années de dur labeur j'avais réussi. A trouver mon petit coin de paradis. Je me souviens du premier jour. J'aurais pu tomber sur n'importe quelle inconnu mais ton petit visage m'es apparu. Je voulais te connaître et apparemment toi aussi. Je me souviens quand on passait plusieurs longues minutes à se regarder dans les yeux. Des minutes qui étaient plus qu'orgasmique. Je e sentais faible et vulnérable. Comme si j'étais aspirer par tes yeux. Je me souviens qu'on avait bâti un quotidien parfait. Dans lequel , tu me donnais les connaissances de la science de notre vie et je te donnais le feu de la réussite. Je sais que je ne suis pas du tout la personnes qui a changer ton quotidien mais je sais que j'y est participer et mon dieu que j'en suis honoré. Je vous souhaite tout le bonheur du monde. Même si je sais que je ne suis plus qu'ombre , une option. Il est bien chanceux de t'avoir tu sais , il a la place que j'ai tant convoité ,  mon désir le plus fou. Il a de la chance d'être aimer par toi. Moi , je suis là , le cul tomber sur le sol. Je veux juste pas que tu m'oublies , non , ça me déchirerai tellement plus , ça laisserais transparaître tellement de faiblesse venant de moi. Je t'en supplies , juste m'oublies pas. Putain non. Même toi tu m'as refusé. J'étais sûr que tu dirais non , vu que j'ai rien d'exceptionnel , je suis pas un dieu , non rien. Juste un jeune bien paumé. Un type seul et désespéré . Je sais que t'as lu tout les autres écrits que j'ai publié ici bas. Je suis content.

Merci. Tu es et restera sans doute le seul homme qui aura su comprendre. Et tu as été sans doute l'une de mes plus belle rencontre. Ce texte paraîtra bidon parce que je parle d'amour. Mais bordel , je voulais juste te dire que je t'aimais. Bonheur.