Guide de vie d'un jeune paumé.

Crème

Je me suis réveiller ce matin , l'humeur sombre , cette sensation si excitante qui me sied que bien trop , prêt à réduite l'univers à néant d'un coup de balai du plus profond de mes yeux noirs et de ce vieux sourire pervers et malsain , ce pouvoir de faire et défaire la vie et la morte à volonté est quelque chose de bien trop beau. Je sais parfaitement bien que certains gredins tenteront vainement de  de stopper la route que j'ai déjà fais mais , ils le savent que trop bien que chacun de mes pas est la tombe d'un mortel et qu'il faudra bien plus qu'un coup de poignard pour stopper ma progression sur le sommet du bonheur. Je dois être un virus contaminant tout ce que je vois et quelque part , ça me plait. Mais bon , j'ai jamais su contrôler ça. Plus j'avance , plus je grossis , plus les têtes éclatent. Et j'ai mes raisons pour parasiter , j'ai toujours eux cet objectif en tête , qu'importe si le bonheur de certaines personnes flanchent , celui d'autre illuminera nos nuits , les nuits précieuses. Dans le bac mémoriel , je pourrais enfin m'assurer de ce que j'ai fais. Après tout , personne ne me tuera , personne n'a su si j'étais réellement humain. Je suis immunisé à la douleur qui n'est pas la mienne. La seul personne capable de me faire du mal , c'est moi même. M'enfin je me dis que je radote un peu mais qu'importe. Plus les paroles sont dites , plus le soleil brille. J'ai découvert un nouvelle endroit sur l'île et je me demande  si les autres l'ont aussi trouvé , une grande salle blanche jonché de trou dans les murs colorées , chacun d'eux emmenant quelque part , à un créneau spatio-temporel bien particulier , mais pour l'instant j'ai peur. J'ai peur d'y aller , enfin y aller seul me semblent un peu trop osé. Ouais , je sais dire que je trouve quelque choses d'osé sort complètement de la logique mais bon. Cet île sort elle même de la logique. Qui a déjà vu un mirage alimenté par le bonheur  ou plutôt la vie de quelqu'un. Après tout , de ce que j'ai vu dans les éclats de verres , j'aime créer le malaise , que déranger le commun des gens étais quelque chose de nécessaire. Actuellement , je suis content. De quoi ? Je ne sais toujours pas. Mais pas  heureux. Parce que je sais que tout ça n'est que temporaire et que bientôt , le vent soufflera.