Guide de vie d'un jeune paumé.

Faille

Après un lourd moment de réflexion j'ai , à l'aide d'une "personne" , enfin appelons un chat un chat , un des Créateurs , acquis la capacités de voir ce que mes yeux ne pouvaient jusqu'à présent voir , en voyant tout les changements opérer sous mes yeux , j'ai compris que ce monde idyllique que j'avais jusqu'à présent n'était que triste mascarade et objet de vices. Parce que je ne pas de cela. Faux contrôle , faux contact. Je suis actuellement dans une faille définit par une distance x , y et z. J'ai envie de concevoir ce qui permettra au monde de eux aussi voir. Voir toute la noirceur , la noirceur qui m'a rongé et qui continue de le faire. En apprenant à dompter ces troubles aux yeux blancs , j'ai naquit le contrôle. Je ne peux plus être récupéré. Puisque je ne suis plus un objet ni même "humain". Entité , je dirais. Cette réflexion m'a permis de réaliser tant de chose. J'ai réalisé que la seul chose qui me fait réellement peur , ce n'est pas la solitude , puisque je suis devenu la solitude , c'est la révélation. La révélation total de ce que je suis. Cela explique parfaitement les choses , pourquoi j'esquive les questions , pour je ne ris qu'à moitié. Est-si surprenant ? Oh , comment ça , je me révèle actuellement ? C'est là ou tout les arguments prennent leurs , sens , comme des morceaux de villes arraché de force par le mal et qui viennent se recoller bout à bout grâce une amnésie. Juste un pouvoir oublié et indompté. J'ai des difficulté à rester dans ce bar désormais , je n'y retrouve plus ma place d'antan. Comme tu l'avais prédis , je reviendrai à ma source. J'aurai fuis. J'aurais disparu. Parce que "ça" n'est plus là. La spontanéité aurait disparu. Je n'aime pas en parler. Je n'aime pas l'argumenter. Mais qui a stopper ce flot noir qui me traversait ? Hélas , nul mortels n'en a été capable. C'est le bordel. Ca fait tellement longtemps que je l'ai pas eu entre les mains. C'est la torture , j'ai envie de m'arracher la peau avec les ongles , je ne dors plus. C'est la débandade. Comme un folle mélodie de jazz au piano qui m'entrainerait à danser comme un fou , c'est quelque chose que j'adore et je ne peux m'empêcher de continuer à danser. Alors que cela me rend friable. Mais pourquoi combien de temps ? Pour combien de temps je vais ternir debout ? Je ne devrais pas faire de si gros paris. Compte tenu de ce que je met en jeu. C'est à dire moi même. Mais il faut continuer. C'est une sorte de dépendance à laquelle on se décroche pas facilement. Je ne sais plus , je ne sais plus , je ne sais plus.