Guide de vie d'un jeune paumé.

Statique

Eh bien, nous y revoilà, de retour back on track après un arrêt momentané. Celui du tri. Récemment, j'ai jeter tout ce qui me gênait dans ma petite chambre mais à la fois j'ai trier mes affaires et mes pensées. J'ai réfléchi pendant que je triai encore et encore. J'ai compris bien que trop de choses. J'ai compris par ailleurs qu'il ne servait à rien d'épier la vie des autres alors qu'on éprouve rien d'autre que du mépris. Tu vois le genre un peu ? J'ai passer un grand coups de balai sur ce qui m'était néfaste. De fausses personnes, des idées noires que j'ai éclairé de nouveau. Le groupe du bar n'existe plus. Il ne subsiste que des tâches qui ne partiront pas style tâche de vin sur la belle nappe blanche au préalable laver. On fait avec. Ca fait longtemps que j'ai jeter la nappe. Et d'un autre côté la poussière. L'ennemi quotidien des ménagères. On la chasse mais elle reviens toujours. C'est presque amusant , quand on pense en avoir enfin finis avec elle reviens. Heureusement que je n'ai pas d'allergie. Et je me suis focaliser sur ce qui m'était réellement bénéfiques. Pour de vrai. Et ce n'est pas vous. Oh non loin de là. Ce qui m'est bénéfique ? Oh c'est simple , ce qui ne me jugera jamais qu'importe mes actions , celle qui donne autant qu'on rend , celle qui est là et pas celle qui prétend l'être. Vous avez tous lamentablement échouez. Et tout ça, c'était dans mes plans. J'avais prévus toutes mes peines, toute la souffrance, tout. Depuis le début. Comme tu le dis si bien, je suis membre d'un théâtre. Un théâtre honnête, réel et efficace ! Pas comme vous ! Comment ça ? D'ou je tiens autant de propos ? Ca me semble évident. C'est dans les moments ou on faiblis un peu qu'on tire un maximum de profits. Il suffit de se baisser pour ramasser. Il fait bon dehors et je n'ai jamais été aussi heureux d'être en vie. Parce que du haut de mon petit palais, je vous vois, tous un à un, tomber. La bourrasque qui fait s'écrouler le château de carte. M'enfin, vous, qui m'avez polluer en souillant ce que j'étais, en me nommant de multiples façons, c'est à votre tours. Comprenez et vivez. C'est vous les hypocrites, les menteurs, les lâches, les pires amis du monde. Ou êtes vous quand ce dans le besoin sont en détresse ? Oooooooh, je vois maintenant. Trop préoccupé à prostituer votre vie. A quel profit ? La satisfaction d'avoir bomber le torse ? Ou alors une peur sombre de l'oubli par la faiblesse ? Qui sera là ? Personne ! Parce que personne n'a été là pour les gens souffrant ! En attendant, je vous souhaite la bienvenue dans votre propre folie. Entrez, je vous en prie, mettez vous à l'aise, vous êtes ici chez vous. Au spectacles de la réalité. Celle qui passe aussi bien qu'un scotch bien fort. Pas besoin d'émissaire. Y'a qu'en rendant véritablement heureux qu'on est remercier et ça vous ne le comprendrez jamais. J'ai presque envie de dire, y'a un vent de solitude total. Oui , total qui s'approche. Amusez vous bien et revenez souvent.