Partie 50 #IMKCNCSL"✨

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🎧J'ai courus en espérant te retrouver l'âme sereine, j'ai courus sans savoir comment ni pourquoi on s'emballe On s'est connu qu'un instant.
Je ne sais plus si tu en vaut la peine.🎧

•Bonjour, Salam, Holà bonne lecture 📖

Moi : Natie, tu acceptes d'être ma femme ? Oui ou oui ?

Je vois ses yeux se remplir de larmes. Putain, non... J'espère qu'elle ne va pas dire non. Pourquoi pleure-t-elle autant ? Est-ce de la joie ou de la tristesse ?
Je reste là, les yeux fixés sur ses lèvres, attendant désespérément sa réponse.

Et puis, d'un coup, elle se lève. Elle me regarde, puis regarde mon oncle et Khalti Eiram.

Putain, j'ai peur.

Dans la peau de Natie :

Je suis là, assise. Niyaad... il veut me demander ma main.
J'y crois pas.

Les larmes me montent rapidement aux yeux, et mon cœur s'emballe.
J'aimerais tellement accepter... mais je ne peux pas.
Non, je ne peux pas.

Je me lève pour répondre, la gorge nouée, les larmes roulant sur mes joues :

Moi (en larmes, sniffant) : Je suis désolée... j'peux pas accepter... Je suis désolée.

Je vois le visage de Niyaad se décomposer, son expression devenir triste.
Ma mère semble choquée, figée sur place.

Niyaad commence à partir, mais je ne peux pas le laisser partir comme ça. Je tends la main et attrape son bras, tentant de le retenir.

Moi : Reste, s'il te plaît... Je ne veux pas que tu partes comme ça... S'il te plaît.
Niyaad : Putain... j'avais l'espoir, non, j'étais sûr que tu accepterais d'être ma femme.
Tu ne m'aimais pas ? Fallait le dire ! J'aurais pas fait cette connerie de venir te demander ta main.
Moi (les larmes étouffant ma voix) : Chut, Niyaad, s'il te plaît, calme-toi... Laisse-moi t'expliquer... S'il te plaît.
Niyaad : Non, c'est bon. Je me casse. Lâche mon bras, Natie.

Il avance, ignorant mes suppliques. Ma mère, Ezna, et son oncle nous regardent, impuissants, sans savoir quoi faire.

Et là, je perds le contrôle. Il s'approche de la porte, et dans un élan désespéré, je crie à pleins poumons, les larmes noyant ma voix :

Moi (hurlant) : JE T'AIME, NIYAAD !
Dieu que je t'aime ! Mais je ne peux pas accepter ce mariage...
Malgré tout le mal que tu m'as fait, je n'ai jamais cessé de t'aimer, putain !
Retourne-toi, regarde-moi, merde !
Je t'aime ! Je t'aime !

Ma voix se brise sous les sanglots.

Moi : Quand je te vois, je tremble. Tu ne remarques sûrement pas... Mais ton prénom résonne dans ma tête, dans mon cœur, jour et nuit.
Et le pire, c'est que j'aurais accepté ce mariage... Mais j'ai peur, Niyaad.
Putain, j'ai peur !

Je tombe à genoux, submergée par l'émotion.

Moi (sanglotant) : J'ai peur parce que je suis condamnée...
Oui, vous avez bien entendu. Je vais mourir.
Ça peut être dans un mois, dans un an... mais c'est sûr, je vais mourir. Le médecin me l'a dit, mais je n'ai pas voulu vous inquiéter.

Un silence de plomb tombe sur la pièce.

Moi (voix brisée) : J'ai juste voulu vivre mes meilleurs instants avec vous, sans penser à ma maladie.
Je ne m'y attendais pas, mais... je l'accepte. Je me dis que peut-être, Dieu me réserve quelque chose de meilleur là-haut.

Je relève les yeux vers lui, noyée dans mes larmes.

Moi : C'est pour ça, Niyaad. C'est pour ça que je n'ai pas accepté d'être ta femme.
À quoi ça servirait ? Hein ?
Ça serait une perte de temps...

Dans la peau de Niyaad :

Je me retourne doucement, mon visage trempé de larmes.
Je m'approche d'elle, tombée à genoux sur le sol.

Moi : Tu as raison, Natie. Ça serait une perte de temps...
De me marier avec toi.
Ça serait une perte de temps... d'aimer encore plus chaque jour.

Je la relève délicatement, mes mains serrant les siennes.

Moi (doucement) : Alors, dans ce cas, tu seras la meilleure perte de temps que j'aurais pu connaître dans ma vie.
Natie, ne pense pas pour moi.
Je m'en fous de passer un mois, trois mois ou dix ans près de toi. Je m'en fous du temps qu'il te reste.

Je sais juste que je veux être avec toi.

Je pose ma main sur sa joue, essuyant ses larmes.

Moi : Je veux te sentir près de moi au réveil.
Je veux que ton visage soit la dernière image que je vois avant de dormir.
Natie, je t'aime. Je t'aime tellement que, pour toi, je tuerais. Je donnerais ma vie si c'était nécessaire.

Je prends une profonde inspiration, rassemblant tout mon courage :

Moi : Alors, je repose ma question.
Tu veux être ma femme ?

Dans la peau de Natie :

Les larmes ne cessent de couler, mais cette fois, elles sont différentes.
Elles sont chargées d'amour, de soulagement, de tout ce que je retiens depuis si longtemps.

Moi (chuchotant, tremblante) : Oui... Je veux bien être ta femme. :$

Un tonnerre d'applaudissements éclate dans la pièce.
Je sursaute en réalisant que nous sommes toujours entourés : son oncle, ma mère, et Ezna.

Ezna (hurlant) : YOUYOUYOUYOU ! 🎉

Je me tourne vers ma mère. Elle est en larmes, ses mains tremblant devant son visage.
Je m'approche doucement d'elle, les yeux brillants.

Moi : Maman... Je ne voulais pas t'inquiéter avec ça.
Mais je te l'ai toujours dit : je ne partirai pas.
Je serai comme le vent. Tu ne me verras plus, mais tu pourras toujours me sentir. 🍃❤️
Je t'aime.

Elle me prend dans ses bras, pleurant à chaudes larmes.

Maman : Je sais, mon bébé.
Mais tu crois que c'est facile pour une mère de laisser son enfant partir pour un autre monde ?
Je prie pour que ce soit le plus tard possible... Je t'aime, mon trésor. ❤️

Nous décidons de ne pas gâcher ce moment.
Après cette vague d'émotions, nous reparlons du mariage.
L'oncle de Niyaad décide de nous unir maintenant, devant Dieu.

[•••]

C'est fait. Je suis la femme de Niyaad devant Dieu.
Et lui, mon mari.

Mais, évidemment, Niyaad ne veut pas s'arrêter là.
Il veut qu'on passe à la mairie.

Après maintes et maintes discussions, nous avons trouvé une date.

C'est rapide, c'est vrai. Mais je ne suis pas contre.

| Quelques mois plus tard |

• Jour J •

C'est bientôt la fin 😢. N'oubliez pas de voter ⭐️, commenter 💬, et partager mes fleurs 🌸.
Bisous à vous 💋✨.

Il m'a kidnappé car nos cœurs sont liés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant