🎧Jamais nos Je t'aime ne doivent se lire de l'extérieur, l'amour c'est trop brutal.🎧
•Bonjour, Salam bonne lecture 📖
Dans la peau de Natie :
Je regarde Niyaad s'éloigner avec ce Danny pour discuter dans une autre pièce. Je ne sais pas ce qu'ils mijotent, mais ça sent déjà mauvais. Une tension sourde plane dans l'air.
Snyna, toujours plantée près de moi, me glisse une confidence :
- Snyna: Danny, c'est un gros poisson dans les trafics. Drogues, armes, tout ce qui brasse gros. Fais attention, ces mecs-là n'ont aucune pitié.
- Moi (murmurant) : Comme si c'était un scoop...
Puis, tout bascule. Des cris éclatent, suivis d'un bruit sourd.
Je m'approche de la pièce, poussée par une curiosité mêlée de peur. Ce que je vois me glace le sang.
Niyaad est là, en train de s'acharner sur Danny. Ses coups sont brutaux, précis, emplis d'une rage incontrôlable.
Danny est déjà à terre, mais Niyaad continue de frapper, encore et encore.
— Moi (hurlant) : ARRÊTE NIYAAD ! ARRÊTE ! TU VAS LE TUER !
Mais il ne m'entend pas. Ses poings s'abattent comme des marteaux, laissant Danny gémir faiblement.
Je panique. Je ne sais pas quoi faire. Mon corps agit avant même que mon esprit ait décidé.
Je cours vers Niyaad. Mon cœur bat à tout rompre. Tout se passe comme au ralenti.
Je m'accroche à lui par-derrière. Je le prends dans mes bras, le serre de toutes mes forces.
— Moi (dans un souffle) : Arrête... S'il te plaît...
Il s'immobilise, sa respiration est haletante, comme celle d'un animal enragé qu'on essaie de calmer. Mes bras restent accrochés à son torse, comme si je voulais l'ancrer à la réalité.
Puis, je sens ses mains sur les miennes. Doucement, il les écarte de son torse. Il se retourne et plante ses yeux dans les miens.
Son regard est un mélange de surprise, de colère, et d'autre chose que je ne peux définir.
Le moment dure une éternité.
Puis, sans prévenir, il me gifle.
La claque est phénoménale. Mon visage brûle instantanément, mais ce n'est rien comparé à la douleur intérieure. Je suis abasourdie.
Je ne m'attendais pas à un merci ou à un câlin, mais... ça ?
Il reste là, à me fixer. Je vois dans ses yeux une tempête silencieuse. Il sort son téléphone, tape rapidement un numéro et décroche d'un ton sec.
Conversation téléphonique :
- Niyaad : Allô, c'est patron. Fils de pute, ramène-toi à la maison.
- ...: %&!$#£ (brouhaha incompréhensible)
- Niyaad (irrité) : Je m'en bats les couilles. Si tu n'es pas là dans 10 minutes, je broie ton âme.
- ...: Ok, j'arrive.
Fin de la conversation.
Je reste plantée là, tremblante, incapable de bouger ou de parler. Danny est toujours inconscient sur le sol, du sang coule de son visage.
Je m'éloigne pour m'asseoir dans le séjour. C'est tout ce que je peux faire. Niyaad, toujours furieux, me suit du regard, comme un prédateur surveillant sa proie.
La porte d'entrée s'ouvre brusquement.
Une voix familière se fait entendre :
- ... : Niyaad ! Euh... Patron ? Vous êtes où ?
— Niyaad (depuis la pièce voisine) : Pose-toi au salon, j'arrive.
Des pas lourds résonnent.
Un homme entre dans le séjour. Mon cœur se serre en le reconnaissant.
C'est le mec qui m'a kidnappée.
Il me regarde avec un sourire narquois.
- Lui: Oh, j'te parle là ! Façon, tu fais trop la miss avec tes cheveux même pas lisses.
— Moi (sarcastique) : T'es con.
Je veux rire, mais je suis trop en colère pour ça.
Niyaad revient enfin dans le séjour. Mais cette fois, il tient une corde dans la main.
Mon cœur s'accélère.
- Moi (inquiète) : Niyaad... Euh, patron. Je peux poser une question ?
- Niyaad (brusquement) : Quoi encore ?
- Moi : Pourquoi une corde ? Et... une fosse ?
Il se lève d'un bond, furieux.
— Niyaad (attrapant mon poignet) : J'te l'ai déjà dit : arrête de m'appeler patron ! Et parle correctement !
Je le fixe, tentant de cacher ma peur.
- Moi (délibérément) : Ah. Désolée, patron. Mais vous vouliez que je vous appelle ainsi, donc... Je suppose que je dois continuer. À moins que ce soit un piège. Vous aimez ça, hein ?
Me frapper pour m'apprendre des leçons.
Sa mâchoire se contracte.
- Niyaad : Je suis rien d'autre pour toi ? Rien d'autre que ton patron ?
— Moi : Exactement. Vous êtes mon patron et rien de plus.
Je vois le feu dans ses yeux.
Une nouvelle gifle m'assomme. Avant que je puisse réagir, il m'attrape et commence à m'attacher avec la corde.
- Niyaad (marmonnant) : Rien, hein ? Vieille pute. Tu vas voir. Tu vas supplier.
Il serre les cordes autour de mes poignets et mes chevilles. Je me débats, mais il resserre encore plus, rendant tout mouvement impossible. Puis, il me baillonne, ses yeux toujours plantés dans les miens, froids et déterminés.
- Niyaad (souriant sadiquement) : Si je suis rien pour toi, alors tu ne seras rien pour personne d'autre. Peut-être même qu'on dira ton prénom suivi de 'Allah Y Rahma.
Il s'éloigne.
Quand il revient, il tient un objet qui me glace le sang.
Mes yeux s'humidifient immédiatement.
Qu'a-t-il ramené ?
Pourquoi Natie est-elle terrifiée à la vue de cet objet ?
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Bisous 💋❤️
VOUS LISEZ
Il m'a kidnappé car nos cœurs sont liés
Ficção GeralC'est ma première histoire, alors je vous demande d'être indulgents, s'il vous plaît. Cette histoire est différente des autres, venez la lire et vous verrez par vous-mêmes... Laissez-moi partager avec vous le fruit de mon imagination. Cependant, ell...
