Partie 11 #IMKCNCSL"✨

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🎧 Baby, I'm a sociopath, Sweet serial killer 🎧

Salam, Bonjour,

- Moi (hurlant, entre deux toussotements) : Lâche-moi, putain ! T'es un malade ! Sale psychopathe de merde ! Lâcheeeuh-moi !

Sa main autour de ma gorge s'est soudain relâchée, et je suis tombée à genoux, toussant violemment pour reprendre mon souffle.
Mais alors que je croyais qu'il allait s'éloigner, il s'est penché vers moi. Ses lèvres se rapprochent de mon oreille, et il chuchote quelque chose qui me glace le sang.

- Lui (chuchotant, froidement) : Si tu ne m'obéis pas... je m'en prendrai à ton seul pilier. À ta chère et tendre petite maman d'amour. Ah ah.

Un frisson parcourt tout mon corps.
Ma mère ? Non. Non, c'est impossible. Il n'oserait pas.
Mais le ton de sa voix, son sourire sadique... il en est capable.
Je le vois dans ses yeux. Cet homme, ce monstre, n'a plus aucune limite.

Je murmure, à peine audible :
- Moi : Pour ma mère, je meurs. Mais tu ne la toucheras pas.

Il éclate de rire, se redresse et quitte la chambre. Avant que je puisse même respirer correctement, il revient avec mon sac à main. Il fouille dedans, en sort mon téléphone, et me le tend.

- Lui : Tiens. Appelle ta mère. Sors-lui un mytho pour justifier ton absence. Ce que tu veux, mais elle doit te croire.
- Moi : Je ne vais pas mentir. Encore moins à ma mère. Puis Elyakim a sûrement remarqué ma disparition, il lui a peut-être déjà tout dit.
Son sourire s'agrandit, mais cette fois, il y a quelque chose de plus... sombre.
- Lui : Elyakim ? Ah, tu veux dire ton ami ? Ton toutou de service ? Pas de soucis, je lui ai déjà réglé son compte.
Ne t'inquiète pas pour lui.

Mon cœur se serre. Les larmes montent immédiatement.

- Moi (tremblante) : Qu'est-ce que tu lui as fait ? Dis-moi !
- Lui (d'un ton léger, comme si de rien n'était) : Rien de grave. Juste de quoi lui faire comprendre qu'il ne devait pas parler. Maintenant, sèche tes larmes de crocodile et appelle ta maman.

Mes mains tremblent en attrapant le téléphone. J'hésite, mais je sais que je n'ai pas le choix. Il surveille chacun de mes mouvements.
Je compose le numéro de ma mère, ma gorge se noue déjà, et j'appuie sur Appeler.

Conversation téléphonique :

- Maman : Allô, ma chérie ! Ça va? Alors, tes vacances ?
— Moi (perdue) : Hein ? Mes vacances ?
- Maman (riant doucement) : Oui, Elyakim m'a dit que ton manager t'a fait une surprise. Tu es partie quelques jours, je ne sais plus où.
- Moi (forçant un sourire dans ma voix) : Aaaah, oui ! Mes vacances. C'était une surprise, comme Elyakim te l'a dit. Je ne m'y attendais pas.
Je jette un regard noir à cet homme devant moi. Il me fait signe de continuer.
- Maman: C'est super, ça ! Bon, ce sera pour une prochaine fois nos vacances à la
Réunion.
- Moi (retenant mes larmes) : Maman... je suis désolée. Je ne savais vraiment pas qu'on allait me faire une surprise pareille. Promis, dès que je rentre, on part loin, très loin.
InshaAllah.
- Maman (doucement) : Ce n'est pas grave, mon bébé. Profite bien et fais plein de photos.
Je t'aime, ma fille.
Ses mots m'arrachent un sanglot que je contiens à peine.
- Moi (la gorge serrée) : Je t'aime aussi, maman. Plus que tout au monde. Ne l'oublie jamais. Je t'aime. Mi aim aou.
- Maman: Moi auss—

Fin de la conversation

Il m'a arraché le téléphone avant qu'elle ne puisse finir sa phrase.
Je lève les yeux vers lui, mon regard rempli de haine.
- Moi : Espèce de connard. Tu as osé. Tu as osé interrompre ma mère.
- Lui (souriant) : Je ne fais que te protéger, mon cœur. Maintenant, suis-moi.

Il reprend mon téléphone et mon sac, puis ouvre la porte. Je le suis à contrecœur jusqu'en bas. En descendant les escaliers, je remarque un groupe de types assis sur un canapé. Ils me fixent tous, certains avec des regards curieux, d'autres... avec des sourires malsains.
Je sens ma gorge se nouer.

- Lui : Salam, les gars. Écoutez-moi bien, deuspi. Elle. (Il me désigne du doigt.)
**"Je l'ai kidnappée, ça vous le savez. Mais attention, elle n'est pas comme les autres filles.
Les autres, vous pouvez faire ce que vous voulez avec. Elle, par contre, elle va travailler pour moi. Elle va attirer les gros pigeons, et elle va rapporter gros. PERSONNE ne la touche. C'est clair ?
- Eux: Oui, patron.

Un des types, plus audacieux, se penche en avant et demande :

— Un homme: Elle va être dans le réseau d'escortes ou de deal ?

Mon sang ne fait qu'un tour.
- Moi (criant) : JAMAIS! Je ne suis pas une pute! Vous croyez que je vais me prostituer ?
Jamais, putain !

BIM.
Une gifle. Mon visage tourne sous l'impact, et ma joue brûle instantanément.

- Lui (calmement, avec un sourire effrayant) : La prochaine fois que tu hausses encore la voix face à moi, et surtout devant mes hommes... JE TE VI*LE.

Mon sang se glace. Mais quelque chose en moi refuse de rester silencieuse. Je ne peux pas me taire.
- Moi (le regardant dans les yeux) : Vas-y. Tente ta chance. Mais je te promets que si tu fais ça, je te détruirai. Tu ne seras plus le grand patron, tu ne seras plus rien.

Un silence tombe dans la pièce. Son sourire s'efface, remplacé par une expression indéchiffrable.
Puis, il murmure :

- Lui : Welcome to hell, Natie.

Qu'a-t-il prévu pour Natie ?
Peut-elle vraiment résister ?
Et comment va-t-elle se sortir de cet enfer ?

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Merci pour votre soutien, mes petits chats

Il m'a kidnappé car nos cœurs sont liés Où les histoires vivent. Découvrez maintenant